Sans demander pardon ni au gouvernement ni à ses lecteurs ! l’ancien ministre Fahmi, fait un revirement à 180 degrés, dans ses propos qualif...
Sans demander pardon ni au gouvernement ni à ses lecteurs ! l’ancien ministre Fahmi, fait un revirement à 180 degrés, dans ses propos qualifiant le chef de l’État de "haute trahison ". peut être une bonne nouvelle, mais ce manque de pardon nous inquiète...
Maître Fahmi, ancien ministre des affaires étrangères et leader du parti Pec, vient de prendre le contre sens sur l’autoroute qu’il a inauguré lui-même il y a 3 jours de cela. Ça arrive oui, ça peut arriver d’accord, par erreur ou par accident. Dans tous les cas, ça mérite quand même des explications.
Oui, chez le leader du Pec, il s’est passé tellement des choses entre le 7 et le 11 décembre 2013, car il vient d’effectuer tout simplement un revirement à 180 degrés dans ses très controversés propos qualifiant le chef de l'Etat de "haute trahison ". Le courage serait de mise, s'il demande pardon au gouvernement ou au moins à ses lecteurs...
Qu’est ce qui c’est passé entre le 7 décembre 2013, jour où Fahmi a informé le peuple que le président et son gouvernement ont « trahi la nation », ce 7 décembre où il a appelé à « la désobéissance de ce gouvernement » qui a renoncé l’intégrité territoriale ? et aujourd’hui 11 décembre 2013 [3 jours après] où ce même ancien ministre Fahami, est brusquement d’accord sur tout ou presque tout, les démarches du gouvernement. (à 1 ou 2 exceptions, qui sont d’ailleurs des simples recommandations). Pourquoi il a qualifié le président « de haute trahison » et pourquoi il a reculé ? Il a le droit de changer d’avis, mais il a aussi le devoir (étant leader politique) d’informer au moins ses lecteurs, du pourquoi il a baissé le ton.
Que devient ce qu’il a appelé « haute trahison du chef de l’Etat », et où en est-il de son appelle à la désobéissance du gouvernement à cause, justement de cette haute trahison ? Si en catimini « le leader du Pec a reconnu son tort, n’ayant pas la moindre preuve de ce qu’il avançait, il serait important de présenter des excuses au gouvernement ou au moins à ceux qui lisent ses interventions ». N’est ce pas ?
Ça ne peut pas rester comme ça éternellement ! Et j’en profite l’occasion pour informer nos leaders politiques {qui sont nombreux machallah,}: « préparez-vous autrement : car 2016 n’est pas loin, et nos médiats sociaux gardent précieusement « vos bêtises du matin, qui redeviennent pure vérité le soir ».
Rappelle des propos de l’ancien ministre le 7 décembre 2013, et le revirement de ce mercredi 11 décembre 2013 :
Répondant à une question de La Gazette des Comores : l’ancien ministre Fahami a informé le peuple que le président et son gouvernement ont « trahi la nation », Fahami a appelé à la désobéissance du gouvernement. Tout ça pour ça !
Par ses propres mots je cite : « … Ce qui est encore plus grave, c'est qu'en acceptant de parapher un document qui fixe les conditions de facilitation de l'octroi de visa aux Comoriens désirant se rendre dans une partie du territoire tel que défini par notre constitution...., « cette renonciation est une violation flagrante et inacceptable de la constitution comorienne », il n'y a pas eu un acte aussi grave qui porte atteinte à notre souveraineté et à notre intégrité que ces accords..., ils appartiennent maintenant aux détenteurs de la légitimité populaire de prendre leurs responsabilités et jouer leur rôle de contre-pouvoir puisque manifestement le gouvernement sert des intérêts autres que ceux du peuple Comorien.
Voici maintenant les propos de ce même ancien ministre 3 jours après :
{« … Nous ne condamnons pas les négociations du HCP mais l'opacité car on estime que les élus et les politiques se devaient d'être informés… « .. Je réitère à dire que la convention est la bienvenue car facilitera beaucoup de choses d’ordre juridique et judiciaire, mais il faut surtout tenir compte du litige territorial qui nous divise avec la France »}
Vous avez compris chers lecteurs, que tout ça pour ça. Un leader politique comorien peut qualifier le chef de l’Etat de « haute trahison le matin », et revenir l’après midi, sans aucune explication aux lecteurs, pour faire comme si de rien n’était… et voila, l’image ternie du leader politique comorien…
Enfin, pour la close voulue par Fahami dans son intervention, afin de suspendre l’application de la convention judiciaire à Mayotte, reconnaissons que c’est un bon débat désormais lancé par l’ancien ministre. Il serait à mon sens une erreur de passer sous silence.
Par contre, nous devons être prudent, pour ne pas faire de Mayotte un élément « S » qui n’appartient ni à l’ensemble « Comores » ni à l’ensemble « France », ce qui ferait de Mayotte une terre de non droit, où ni les règles applicables aux Comores ni celles applicables en France, ne peuvent s’appliquer. Car cela risque de ramener les escrocs (que nous cherchons à punir) à se réfugier à Mayotte pour échapper la loi…
Encore une fois, au nom de nos médiats sociaux, j’adresse ce message à nos « leaders politiques comoriens » : chers Leaders ! Préparez-vous autrement : car 2016 n’est pas loin, et nos médiats sociaux gardent précieusement « vos bêtises du matin, qui redeviennent pure vérité le soir. Ça ne peut pas rester comme ça éternellement…
Mrimdu
Maître Fahmi, ancien ministre des affaires étrangères et leader du parti Pec, vient de prendre le contre sens sur l’autoroute qu’il a inauguré lui-même il y a 3 jours de cela. Ça arrive oui, ça peut arriver d’accord, par erreur ou par accident. Dans tous les cas, ça mérite quand même des explications.
Oui, chez le leader du Pec, il s’est passé tellement des choses entre le 7 et le 11 décembre 2013, car il vient d’effectuer tout simplement un revirement à 180 degrés dans ses très controversés propos qualifiant le chef de l'Etat de "haute trahison ". Le courage serait de mise, s'il demande pardon au gouvernement ou au moins à ses lecteurs...
Qu’est ce qui c’est passé entre le 7 décembre 2013, jour où Fahmi a informé le peuple que le président et son gouvernement ont « trahi la nation », ce 7 décembre où il a appelé à « la désobéissance de ce gouvernement » qui a renoncé l’intégrité territoriale ? et aujourd’hui 11 décembre 2013 [3 jours après] où ce même ancien ministre Fahami, est brusquement d’accord sur tout ou presque tout, les démarches du gouvernement. (à 1 ou 2 exceptions, qui sont d’ailleurs des simples recommandations). Pourquoi il a qualifié le président « de haute trahison » et pourquoi il a reculé ? Il a le droit de changer d’avis, mais il a aussi le devoir (étant leader politique) d’informer au moins ses lecteurs, du pourquoi il a baissé le ton.
Que devient ce qu’il a appelé « haute trahison du chef de l’Etat », et où en est-il de son appelle à la désobéissance du gouvernement à cause, justement de cette haute trahison ? Si en catimini « le leader du Pec a reconnu son tort, n’ayant pas la moindre preuve de ce qu’il avançait, il serait important de présenter des excuses au gouvernement ou au moins à ceux qui lisent ses interventions ». N’est ce pas ?
Ça ne peut pas rester comme ça éternellement ! Et j’en profite l’occasion pour informer nos leaders politiques {qui sont nombreux machallah,}: « préparez-vous autrement : car 2016 n’est pas loin, et nos médiats sociaux gardent précieusement « vos bêtises du matin, qui redeviennent pure vérité le soir ».
Rappelle des propos de l’ancien ministre le 7 décembre 2013, et le revirement de ce mercredi 11 décembre 2013 :
Répondant à une question de La Gazette des Comores : l’ancien ministre Fahami a informé le peuple que le président et son gouvernement ont « trahi la nation », Fahami a appelé à la désobéissance du gouvernement. Tout ça pour ça !
Par ses propres mots je cite : « … Ce qui est encore plus grave, c'est qu'en acceptant de parapher un document qui fixe les conditions de facilitation de l'octroi de visa aux Comoriens désirant se rendre dans une partie du territoire tel que défini par notre constitution...., « cette renonciation est une violation flagrante et inacceptable de la constitution comorienne », il n'y a pas eu un acte aussi grave qui porte atteinte à notre souveraineté et à notre intégrité que ces accords..., ils appartiennent maintenant aux détenteurs de la légitimité populaire de prendre leurs responsabilités et jouer leur rôle de contre-pouvoir puisque manifestement le gouvernement sert des intérêts autres que ceux du peuple Comorien.
Voici maintenant les propos de ce même ancien ministre 3 jours après :
{« … Nous ne condamnons pas les négociations du HCP mais l'opacité car on estime que les élus et les politiques se devaient d'être informés… « .. Je réitère à dire que la convention est la bienvenue car facilitera beaucoup de choses d’ordre juridique et judiciaire, mais il faut surtout tenir compte du litige territorial qui nous divise avec la France »}
Vous avez compris chers lecteurs, que tout ça pour ça. Un leader politique comorien peut qualifier le chef de l’Etat de « haute trahison le matin », et revenir l’après midi, sans aucune explication aux lecteurs, pour faire comme si de rien n’était… et voila, l’image ternie du leader politique comorien…
Enfin, pour la close voulue par Fahami dans son intervention, afin de suspendre l’application de la convention judiciaire à Mayotte, reconnaissons que c’est un bon débat désormais lancé par l’ancien ministre. Il serait à mon sens une erreur de passer sous silence.
Par contre, nous devons être prudent, pour ne pas faire de Mayotte un élément « S » qui n’appartient ni à l’ensemble « Comores » ni à l’ensemble « France », ce qui ferait de Mayotte une terre de non droit, où ni les règles applicables aux Comores ni celles applicables en France, ne peuvent s’appliquer. Car cela risque de ramener les escrocs (que nous cherchons à punir) à se réfugier à Mayotte pour échapper la loi…
Encore une fois, au nom de nos médiats sociaux, j’adresse ce message à nos « leaders politiques comoriens » : chers Leaders ! Préparez-vous autrement : car 2016 n’est pas loin, et nos médiats sociaux gardent précieusement « vos bêtises du matin, qui redeviennent pure vérité le soir. Ça ne peut pas rester comme ça éternellement…
Mrimdu