C’est un 26 juin un peu particulier que va vivre aujourd’hui Madagascar. Ce 53e anniversaire de l'indépendance est non seulement boycott...
C’est un 26 juin un peu particulier que va vivre aujourd’hui Madagascar. Ce 53e anniversaire de l'indépendance est non seulement boycotté par une partie de l'opposition, mais devrait également être boudé par les représentants de la communauté internationale. Une absence qui augure mal d'une résolution de la crise politique qui secoue la Grande Île.
![](http://4.bp.blogspot.com/-PiuR0wNlvGs/UbCVU4MkyQI/AAAAAAAA41w/uy-bvT9v_5E/s1600-rw/image-759587.jpeg)
C’est un président affaibli et contesté qui s’apprête à diriger
les cérémonies de la fête nationale. Illégitime, pour la principale
mouvance de l’opposition. Le chef d’Etat candidat doit démissionner
demandent les partisans de l'ancien président Ravalomanana, qui ont
appelé au boycott des festivités. Aujourd’hui, dans les tribunes
officielles, ils ne seront pas là.
Tout comme les principaux représentants de la communauté internationale. Selon nos informations, France, Union européenne, Etats-Unis, ONU, entre autres, manqueront à l’appel. Ils boudent l’invitation d’Andry Rajoelina.
Annonce de sanctions
Une absence qui d’après nos sources, annonce des sanctions. Face au trois candidats controversés qui refusent de se retirer, à Addis Abeba, ce mercredi, le groupe international de contact pourrait en effet décider de se ne plus accompagner le processus électoral.
C’en serait alors fini des élections crédibles reconnues à l’étranger. Plus que jamais, la sortie de crise s’éloignerait. A n’en pas douter, pour Madagascar, ce 26 juin est une journée-clé. Par RFI
Tout comme les principaux représentants de la communauté internationale. Selon nos informations, France, Union européenne, Etats-Unis, ONU, entre autres, manqueront à l’appel. Ils boudent l’invitation d’Andry Rajoelina.
Annonce de sanctions
Une absence qui d’après nos sources, annonce des sanctions. Face au trois candidats controversés qui refusent de se retirer, à Addis Abeba, ce mercredi, le groupe international de contact pourrait en effet décider de se ne plus accompagner le processus électoral.
C’en serait alors fini des élections crédibles reconnues à l’étranger. Plus que jamais, la sortie de crise s’éloignerait. A n’en pas douter, pour Madagascar, ce 26 juin est une journée-clé. Par RFI