A Madagascar, Edgard Razafindravahy sera-t-il le successeur d’Andry Rajoelina ? C’est en tout cas ce que souhaite le président de la transit...
A Madagascar, Edgard Razafindravahy sera-t-il le successeur d’Andry Rajoelina ? C’est en tout cas ce que souhaite le président de la transition, et ce qu’a entériné son parti. Samedi 6 avril, au terme de deux jours de congrès, l’homme fort de la capitale a été proclamé candidat du TGV pour la présidentielle de juillet prochain. C'est une surprise car l’ancien Premier ministre, Camille Vital, était donné favori.
Edgard Razafindravahy, nouvelle égérie du TGV (Tanora malaGasy
Vonona), poulain d’Andry Rajoelina pour la présidentielle… C’est donc le
choix du président de la transition et de son parti. Face à une salle
comble et chauffée à blanc depuis des heures, le patron d’Antananarivo a
fait samedi ses premiers pas en tant que candidat.
Lutte contre le chômage, la corruption, accès à la santé et à l’éducation, quelques thèmes de campagne ont été esquissé par cet homme d'affaires de 51 ans, entré tardivement en politique. Nommé à la tête de la capitale en 2009, il n’a en effet jamais été élu. Alors si cet homme originaire des Hautes terres, pourra compter sur le soutien de la haute bourgeoisie malgache, il devrait rencontrer bien plus de difficultés dans la brousse et chez les côtiers. «En dehors de Tana, qui connaît Edgard Razafindravahy ?», souligne même un observateur avisé.
Et pourtant, dès le retrait du président de la transition de la course à la présidentielle, l’homme avait fait savoir ses ambitions. Il espère ainsi s’inscrire dans la lignée de ses prédécesseurs. La mairie d’Antananarivo a conduit Marc Ravalomanana comme Andry Rajoelina au palais présidentiel. Par RFI
Lutte contre le chômage, la corruption, accès à la santé et à l’éducation, quelques thèmes de campagne ont été esquissé par cet homme d'affaires de 51 ans, entré tardivement en politique. Nommé à la tête de la capitale en 2009, il n’a en effet jamais été élu. Alors si cet homme originaire des Hautes terres, pourra compter sur le soutien de la haute bourgeoisie malgache, il devrait rencontrer bien plus de difficultés dans la brousse et chez les côtiers. «En dehors de Tana, qui connaît Edgard Razafindravahy ?», souligne même un observateur avisé.
Et pourtant, dès le retrait du président de la transition de la course à la présidentielle, l’homme avait fait savoir ses ambitions. Il espère ainsi s’inscrire dans la lignée de ses prédécesseurs. La mairie d’Antananarivo a conduit Marc Ravalomanana comme Andry Rajoelina au palais présidentiel. Par RFI
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