Depuis l’affaire du tweet, Valérie Trierweiler est affaiblie par les attaques, et les rumeurs, comme elle le déplore lors de son passage ...
Depuis l’affaire du tweet, Valérie Trierweiler est
affaiblie par les attaques, et les rumeurs, comme elle le déplore lors
de son passage sur le plateau du « Grand Journal », le rendez-vous de
Michel Denisot.
« J’apprends à les supporter, on apprend petit à petit », confie la
première dame parlant des attaques dont elle est souvent la cible.
Et d’expliquer ensuite que pour éviter de lire les rumeurs à son sujet, elle a remplacé la lecture des journaux par le sport.
Et d’expliquer ensuite que pour éviter de lire les rumeurs à son sujet, elle a remplacé la lecture des journaux par le sport.
« C’est vrai qu’il y a des rumeurs nouvelles tous les jours. Si on lit tout ce qu’il y a sur le Net tous les jours : le président et moi nous nous séparons, il parait que j’ai un fils en prison au Canada », a-t-elle expliqué.
Et de rassurer tout le monde. Son fils n’est pas derrière les barreaux comme cela avait circulé sur Twitter, où il était affirmé que son fils avait été inquiété dans une affaire de trafic de drogue.
« Aucun de mes fils n’est en prison aucun n’est même allé au Canada ! Au début c’est vrai que tout cela ça touche et puis après on apprend non pas à en rigoler mais en tout cas à vivre avec », dit la compagne de longue date de François Hollande, qui n’a cependant pas commenté l’information révélée par Le Point selon laquelle, son fils de 15 ans bénéficiait d’une protection rapprochée, escorté en permanence par deux policiers.pipole.net
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