Les saisies de cannabis sont de plus en plus fréquentes dans l'archipel des Comores. Des petites filières sont démantelées, comme il...
Les saisies de cannabis sont de plus en plus fréquentes dans l'archipel
des Comores. Des petites filières sont démantelées, comme il y a
quelques jours avec une prise de 119 kilos dans un colis débarqué au
port de Moroni.
La zone portuaire est le théâtre d'un véritable trafic à plus grande échelle. Malgré un effectif plus que réduit, la brigade des stupéfiants du port a mis la main depuis trois ans sur près de 2.000 kilos de cannabis destinés au marché local.
La valeur marchande à la revente est estimée aux alentours de 200 millions de francs comoriens (406.000 euros).
Sans chiens renifleurs, ni appareils en imagerie radioscopique, ni détecteurs
Avec des moyens limités, les policiers en charge d'enrayer l'importation illicite de drogue sur le territoire comorien ne se leurrent pas sur les forces en présence dans les deux camps. Face à un réseau structuré et aux nombreuses complicités, les trois agents de la lutte anti-drogue sans local ne font pas le poids.
Se fiant uniquement à leur instinct d'enquêteurs et à quelques tuyaux d'informateurs, la brigade anti-drogue du port de Moroni parvient seulement à "déranger" le business lucratif des trafiquants. Ces derniers n’hésitent d'ailleurs pas à tenter de soudoyer les fonctionnaires quand ils tombent dans les filets de la police.
Sans chiens renifleurs, ni appareils en imagerie radioscopique, ni détecteurs, le combat entre la police anti-drogue et les trafiquants est de toute façon inégal sur le terrain.
Source: http://www.indian-ocean-times.com/
La zone portuaire est le théâtre d'un véritable trafic à plus grande échelle. Malgré un effectif plus que réduit, la brigade des stupéfiants du port a mis la main depuis trois ans sur près de 2.000 kilos de cannabis destinés au marché local.
La valeur marchande à la revente est estimée aux alentours de 200 millions de francs comoriens (406.000 euros).
Sans chiens renifleurs, ni appareils en imagerie radioscopique, ni détecteurs
Avec des moyens limités, les policiers en charge d'enrayer l'importation illicite de drogue sur le territoire comorien ne se leurrent pas sur les forces en présence dans les deux camps. Face à un réseau structuré et aux nombreuses complicités, les trois agents de la lutte anti-drogue sans local ne font pas le poids.
Se fiant uniquement à leur instinct d'enquêteurs et à quelques tuyaux d'informateurs, la brigade anti-drogue du port de Moroni parvient seulement à "déranger" le business lucratif des trafiquants. Ces derniers n’hésitent d'ailleurs pas à tenter de soudoyer les fonctionnaires quand ils tombent dans les filets de la police.
Sans chiens renifleurs, ni appareils en imagerie radioscopique, ni détecteurs, le combat entre la police anti-drogue et les trafiquants est de toute façon inégal sur le terrain.
Source: http://www.indian-ocean-times.com/
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