La Commission nationale de prévention et de lutte contre la corruption (Cnplc) s'est attaché les services de deux experts de l'Union...
La Commission nationale de prévention et de lutte contre la corruption (Cnplc) s'est attaché les services de deux experts de l'Union européenne pour élaborer la stratégie nationale en matière de lutte contre la corruption. Un document qui sera assorti d'un plan d'action gouvernemental pour les cinq prochaines années, d'outils techniques et métrologiques de base pour sa mise en oeuvre, et fera l'objet d'une validation par toutes les parties prenantes.
C'est ainsi qu'une série de rencontres se tiennent au siège de la Cnplc, entre experts et différents corps socio-politique et économique du pays, pour avoir une compréhension claire des sources et mécanismes de la corruption, des processus qui la favorisent, d'avoir un état des lieux du phénomène et de concevoir une stratégie de lutte contre la corruption comprenant les trois volets de la prévention, de l'éducation et des sanctions.
Les deux experts de l'Ue, Michel Amiot et Bakolalao Ramanandraib, et les membres de la Cnplc ont déjà rencontré, entre autres, les conseillers des îles, les techniciens de la Banque centrale, le secrétaire général du gouvernement, le directeur du cabinet à la présidence, le gouverneur de Ngazidja et des représentants des partis politiques. Demain samedi, d'autres groupes d'invités, dont des représentants de la presse, seront échangeront avec eux.
Avec cette démarche, à laquelle les différents partenaires stratégiques sont associés d'une manière permanente, un débat de fond s'impose sur les grandes problématiques de la corruption. Ces rencontres permettent de parler d'une stratégie qui sera adaptée aux réalités des Comores. De nombreuses questions sur la nature de la corruption aux Comores sont débattues, notamment le type de corruption, ses manifestations, les secteurs touchés, les localités concernées ou encore les principales motivations et causes de la corruption, entre autres.
Les diverses contributions, issues de ces discussions, permettront aux deux experts d'articuler les recommandations d'un programme national de la stratégie de lutte contre la corruption.
Nakidine Hassane : alwatwan
C'est ainsi qu'une série de rencontres se tiennent au siège de la Cnplc, entre experts et différents corps socio-politique et économique du pays, pour avoir une compréhension claire des sources et mécanismes de la corruption, des processus qui la favorisent, d'avoir un état des lieux du phénomène et de concevoir une stratégie de lutte contre la corruption comprenant les trois volets de la prévention, de l'éducation et des sanctions.
Les deux experts de l'Ue, Michel Amiot et Bakolalao Ramanandraib, et les membres de la Cnplc ont déjà rencontré, entre autres, les conseillers des îles, les techniciens de la Banque centrale, le secrétaire général du gouvernement, le directeur du cabinet à la présidence, le gouverneur de Ngazidja et des représentants des partis politiques. Demain samedi, d'autres groupes d'invités, dont des représentants de la presse, seront échangeront avec eux.
Avec cette démarche, à laquelle les différents partenaires stratégiques sont associés d'une manière permanente, un débat de fond s'impose sur les grandes problématiques de la corruption. Ces rencontres permettent de parler d'une stratégie qui sera adaptée aux réalités des Comores. De nombreuses questions sur la nature de la corruption aux Comores sont débattues, notamment le type de corruption, ses manifestations, les secteurs touchés, les localités concernées ou encore les principales motivations et causes de la corruption, entre autres.
Les diverses contributions, issues de ces discussions, permettront aux deux experts d'articuler les recommandations d'un programme national de la stratégie de lutte contre la corruption.
Nakidine Hassane : alwatwan
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