Le directeur de l’enseignement secondaire, Mohamed Ousseine, pense que ce sont avant tout les parents des élèves et certains chefs d’...
Le directeur de l’enseignement
secondaire,
Mohamed Ousseine, pense
que ce sont avant tout les
parents des élèves et certains
chefs d’établissements
corrompus qui
constituent les maillons
forts de cette chaine de
production du faux.La direction de l’enseignement
secondaire de l’île de
Ndzuwani a saisi seize
dossiers de candidatures
aux examens nationaux entachés de
falsification. Parmi ces dossiers,
cinq ont été déposés pour le Brevet
d’études du premier cycle (Bepc), et
onze pour le baccalauréat. Par rapport
à l’année dernière, le phénomène
semble plutôt en régression (une
vingtaine de cas en effet en 2011),
mais rien ne permet encore de l’affirmer
puisque, d’après la direction,
“les vérifications ne sont pas encore
complètes”.
secondaire,
Mohamed Ousseine, pense
que ce sont avant tout les
parents des élèves et certains
chefs d’établissements
corrompus qui
constituent les maillons
forts de cette chaine de
production du faux.La direction de l’enseignement
secondaire de l’île de
Ndzuwani a saisi seize
dossiers de candidatures
aux examens nationaux entachés de
falsification. Parmi ces dossiers,
cinq ont été déposés pour le Brevet
d’études du premier cycle (Bepc), et
onze pour le baccalauréat. Par rapport
à l’année dernière, le phénomène
semble plutôt en régression (une
vingtaine de cas en effet en 2011),
mais rien ne permet encore de l’affirmer
puisque, d’après la direction,
“les vérifications ne sont pas encore
complètes”.
Les fraudes sont de toutes les formes
: du candidat qui substitue son
identité à celle de la personne réelle
pour composer à sa place, à la falsification
des moyennes pour des
redoublants qui ne devaient pas en
principe composer cette année, en
passant par les bulletins et relevés
scannés avec données falsifiées pour
permettre leur subtilisation par d’autres
personnes, tout l’art du faussaire
y est employé.
Le directeur de l’enseignement
secondaire, Mohamed Ousseine,
pense que ce sont avant tout les
parents des élèves et certains chefs
d’établissements corrompus qui
constituent les maillons forts de cette
chaine de production du faux. Il estime
de même que le fameux certificat
de concordance de noms, délivré par
les tribunaux administratifs, aident
les fraudeurs à se tirer habilement
d’affaire.
En effet, cet acte, souvent obtenu
sans grande difficulté, reconnait et
approuve les modifications apportées
dans l’état-civil d’une personne.
SM : alwatwan.net
: du candidat qui substitue son
identité à celle de la personne réelle
pour composer à sa place, à la falsification
des moyennes pour des
redoublants qui ne devaient pas en
principe composer cette année, en
passant par les bulletins et relevés
scannés avec données falsifiées pour
permettre leur subtilisation par d’autres
personnes, tout l’art du faussaire
y est employé.
Le directeur de l’enseignement
secondaire, Mohamed Ousseine,
pense que ce sont avant tout les
parents des élèves et certains chefs
d’établissements corrompus qui
constituent les maillons forts de cette
chaine de production du faux. Il estime
de même que le fameux certificat
de concordance de noms, délivré par
les tribunaux administratifs, aident
les fraudeurs à se tirer habilement
d’affaire.
En effet, cet acte, souvent obtenu
sans grande difficulté, reconnait et
approuve les modifications apportées
dans l’état-civil d’une personne.
SM : alwatwan.net
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