L’agence de la société nationale des télécommunications à Mitsamihuli, au nord-ouest de Ngazidja, est victime de malversation présumé...
L’agence de la société
nationale des télécommunications
à Mitsamihuli,
au nord-ouest de
Ngazidja, est victime de malversation
présumée. L’agence commerciale
de la ville a été victime de
détournements de fonds qui avoisineraient
les 27 millions de francs.
C’est, ce qu’a révéler l’audit d’une
équipe d’inspection de l’entreprise,
saisie par le receveur, Moinahalima
Mbaé, après avoir constaté qu’une
somme relativement importante
avait sauté des comptes. Pour l’heure,
trois employés, Chamou
Mbaraka, Moinamina bin Cheick et
un surnommé Coboy, sont suspendus.
Une “mesure préventive“,
explique-ton au service commercial
et marketing de Comores Telecom à
Volovolo “en attendant le rapport
final attendu le lundi“ (aujourd’hui,
Ndlr).
Des employés racontent que les
présumés auteurs “se rendaient à
l’agence le soir pour bruler les souches
des reçus afin de dissimuler les
preuves“. Un des auteurs présumés
qui aurait été confondu alors qu’il
tentait de bruler des documents,
aurait reconnu les faits. Un autre se
présente en bouc émissaire en accusant
ses collègues d’avoir “utilisé
frauduleusement son mot de passe“.
Des sources internes croient savoir
que des agents de Comores
Telecom pouvaient se servir du mot
de passe du receveur et ceux d’autres
agents et que les auteurs présumés
ont voulu piéger le receveur
“en versant 2 millions de francs
dans son compte“, disent-elles.
nationale des télécommunications
à Mitsamihuli,
au nord-ouest de
Ngazidja, est victime de malversation
présumée. L’agence commerciale
de la ville a été victime de
détournements de fonds qui avoisineraient
les 27 millions de francs.
C’est, ce qu’a révéler l’audit d’une
équipe d’inspection de l’entreprise,
saisie par le receveur, Moinahalima
Mbaé, après avoir constaté qu’une
somme relativement importante
avait sauté des comptes. Pour l’heure,
trois employés, Chamou
Mbaraka, Moinamina bin Cheick et
un surnommé Coboy, sont suspendus.
Une “mesure préventive“,
explique-ton au service commercial
et marketing de Comores Telecom à
Volovolo “en attendant le rapport
final attendu le lundi“ (aujourd’hui,
Ndlr).
Des employés racontent que les
présumés auteurs “se rendaient à
l’agence le soir pour bruler les souches
des reçus afin de dissimuler les
preuves“. Un des auteurs présumés
qui aurait été confondu alors qu’il
tentait de bruler des documents,
aurait reconnu les faits. Un autre se
présente en bouc émissaire en accusant
ses collègues d’avoir “utilisé
frauduleusement son mot de passe“.
Des sources internes croient savoir
que des agents de Comores
Telecom pouvaient se servir du mot
de passe du receveur et ceux d’autres
agents et que les auteurs présumés
ont voulu piéger le receveur
“en versant 2 millions de francs
dans son compte“, disent-elles.
Le rapport final devrait mettre la
lumière sur le mode opératoire des
auteurs présumés. “Ils devront passer
en conseil de discipline, c’est à
partir de là que l’on peut déterminer
s’il y a lieu de porter plainte
devant la justice ou nom”, dit-on
du côté de la direction du Centre de
transit international à Volovolo.
Cependant, un haut responsable au
central de Volovolo qui a souhaité
garder l’anonymat, a assuré que les
équipes d’inspection de Comores
Telecom sont “fiables et actives“ et
que des indélicatesses du genre “ne
pouvaient pas passer inaperçues
pendant plus de deux semaines“.
Par ailleurs, d’autres voix soutiennent
que si une somme aussi élevée
(27 millions de francs comoriens) a
été volée dans un espace de temps
aussi réduit, l’agence aurait fermé
boutique.
Une chose est sûre : au service
commercial et marketing de
Comores Telecom à Volovolo,
comme au niveau de l’agence local
de Mitsamihuli, tout le monde espère
que le rapport attendu aidera à
faire la lumière sur cette énième
affaire qui, si elle devait se confirmer,
pourrait entacher un peu plus
l’image de l’opérateur public qui,
en ce moment, semble en avoir
rudement besoin.
Toyb Ahmed : alwatwan
lumière sur le mode opératoire des
auteurs présumés. “Ils devront passer
en conseil de discipline, c’est à
partir de là que l’on peut déterminer
s’il y a lieu de porter plainte
devant la justice ou nom”, dit-on
du côté de la direction du Centre de
transit international à Volovolo.
Cependant, un haut responsable au
central de Volovolo qui a souhaité
garder l’anonymat, a assuré que les
équipes d’inspection de Comores
Telecom sont “fiables et actives“ et
que des indélicatesses du genre “ne
pouvaient pas passer inaperçues
pendant plus de deux semaines“.
Par ailleurs, d’autres voix soutiennent
que si une somme aussi élevée
(27 millions de francs comoriens) a
été volée dans un espace de temps
aussi réduit, l’agence aurait fermé
boutique.
Une chose est sûre : au service
commercial et marketing de
Comores Telecom à Volovolo,
comme au niveau de l’agence local
de Mitsamihuli, tout le monde espère
que le rapport attendu aidera à
faire la lumière sur cette énième
affaire qui, si elle devait se confirmer,
pourrait entacher un peu plus
l’image de l’opérateur public qui,
en ce moment, semble en avoir
rudement besoin.
Toyb Ahmed : alwatwan
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