Au moins neuf personnes ont perdu la vie pendant la fête de Noël dans la Grande île. Ce bilan est relayé par l’Express de Madagascar qui f...
Au moins neuf personnes ont perdu la vie pendant la fête de Noël dans la Grande île. Ce bilan est relayé par l’Express de Madagascar qui fait également état de 249 blessés. Le journal malgache relate dans son numéro du jour des accidents de la circulation, abus d’alcool, meurtre ou noyade.
Sur les routes, des accidents de circulation ont aussi fait des morts. Ce sont les véhicules de transport en commun qui détiennent la triste palme des accidents mortels. Dans la périphérie d’Antananarivo, un bus qui assure la liaison Ambohidtratrimo et centre-ville a fauché à mort un garçon âgé d’à peine 11 ans. Le véhicule qui roulait à tombeau ouvert en direction du centre-ville a percuté de plein fouet l’enfant, qui allait jouer au football avec ses camarades de l’autre côté de la route. Le gamin a été tué sur le coup après être passé sous les roues du véhicule, relate le journal malgache.
Sur la RN2, à Ambohimangakely, un cycliste a été pris en sandwich entre un poids lourd et un taxi-brousse. Sur d’autres axes, des accidents de taxi-brousses ont également été signalés. Ainsi, deux passagers ont laissé leur vie du côté de Maevatanana, sur la RN4 qui mène à Majunga, et un mort ainsi que 11 blessés graves ont été enregistrés à Amparafaravola, dans la région d’Ambatondrazaka (Nord-Est).
Comme à chaque fête, l’alcool a aussi fait des victimes. Deux individus ont succombé à un coma éthylique alors qu’ils avaient été pris en charge par le service de réanimation médicale et de toxicologie de l’hôpital d’Ampefiloha.
De sources hospitalières, ce sont les agressions et les bagarres qui ont fait le plus de victimes. Les médecins urgentistes ont eu affaire à une affluence de blessés, dont 56 recensés dans la seule journée de samedi et des centaines d’autres le jour de Noël.
Cette année encore, la célébration de Noël à Madagascar a été marquée par des faits-divers désolants, et le plus tragique s’est produit à Soavimasoandro, non loin d’Antananarivo. Un père de famille de 36 ans a trouvé une mort atroce à la suite d’un différend entre voisins. Il a été froidement tué par ses agresseurs qui lui ont planté un pieu imbibé d’acide en plein cœur, rapporte l’Express de Madagascar.
Sur les routes, des accidents de circulation ont aussi fait des morts. Ce sont les véhicules de transport en commun qui détiennent la triste palme des accidents mortels. Dans la périphérie d’Antananarivo, un bus qui assure la liaison Ambohidtratrimo et centre-ville a fauché à mort un garçon âgé d’à peine 11 ans. Le véhicule qui roulait à tombeau ouvert en direction du centre-ville a percuté de plein fouet l’enfant, qui allait jouer au football avec ses camarades de l’autre côté de la route. Le gamin a été tué sur le coup après être passé sous les roues du véhicule, relate le journal malgache.
Furieux, des témoins qui ont assisté à la scène s’en étaient pris à l’autobus. Ne parvenant pas à mettre la main sur le conducteur, ils ont crevé les roues du taxi-be. Ils allaient incendier ce véhicule de transports en commun lorsque la police a débarqué in extremis, d’après l’Express de Madagascar.
Sur la RN2, à Ambohimangakely, un cycliste a été pris en sandwich entre un poids lourd et un taxi-brousse. Sur d’autres axes, des accidents de taxi-brousses ont également été signalés. Ainsi, deux passagers ont laissé leur vie du côté de Maevatanana, sur la RN4 qui mène à Majunga, et un mort ainsi que 11 blessés graves ont été enregistrés à Amparafaravola, dans la région d’Ambatondrazaka (Nord-Est).
Dans la capitale à Antananarivo, la rivière d’Ikopa a encore tué. Une fillette de 12 ans s’est noyée du côté d’Ankazotoha. Des riverains ont tenté de voler à son secours mais elle était déjà inanimée lorsqu’elle a été repêchée.
Comme à chaque fête, l’alcool a aussi fait des victimes. Deux individus ont succombé à un coma éthylique alors qu’ils avaient été pris en charge par le service de réanimation médicale et de toxicologie de l’hôpital d’Ampefiloha.
De sources hospitalières, ce sont les agressions et les bagarres qui ont fait le plus de victimes. Les médecins urgentistes ont eu affaire à une affluence de blessés, dont 56 recensés dans la seule journée de samedi et des centaines d’autres le jour de Noël.
source:http://www.linfo.re
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