Le Kenya est le 20ème pays d’Afrique à avoir voté une loi qui interdit les mutilations génitales féminines (MGF). Pour les membres de l...
Le Kenya est le 20ème pays d’Afrique à avoir voté une loi qui interdit les mutilations génitales féminines (MGF). Pour les membres de l’association parlementaire des femmes le «Kenyan Women Parliamentary Association », le vote de cette loi est un grand jour; une date historique à écrire en lettres d’or dans les annales politiques du pays.
La présidente de l’association Mme Linah Kilimo pense que l’interdiction des mutilations génitales féminines va avoir un impact favorable au sein de la population féminine surtout dans le domaine de l’éducation.
Quant à l’honorable députée Mme Sophia Abdi Noor qui avait fait un témoignage poignant au parlement, lors de la première lecture du projet de loi au mois de juin 2011, en parlant de sa propre expérience, de ses difficultés lors de ses accouchements et du décès de ses enfants au moment de la délivrance, elle se réjouit tout spécialement de voir que les efforts de toutes les femmes kényanes ont été aujourd’hui couronnés de succès.
Lors de son sommet à Malabo (Guinée équatoriale) en juillet 2001, l’Union africaine s’est engagée à accélérer le processus d’abandon des mutilations génitales féminines et à éradiquer une telle pratique. Elle avait même prévu de soumettre à l’Assemblée générale des Nations-Unies en septembre 2011 un projet de résolution pour une interdiction universelle des M.G.F.
Actuellement 10 pays n’ont toujours pas promulgué de lois contre les mutilations génitales féminines qui sont pratiquées à grande échelle ou elles sont sans effet.Il s’agit du Mali, La Sierra Leone, le Soudan la Gambie, le Libéria, l’Erythré, Les Comores, Djibouti, l’Egypte.
La Somalie et la Guinée-Conakry(1965) ont promulgué des lois qui ne sont pas appliquées.
On peut être une bonne épouse Africaine respectueuse des lois et de la morale qui régit la société sans pour autant être stigmatisée dans sa chair.
FORWARD-Germany félicite ses partenaires qui ont travaillé sans relâche pour l’avènement d’un tel jour et les parlementaires d’avoir promulgué une telle loi qui va préserver l’intégrité physique des filles et des femmes.
Source www.guardian.co.uk
La présidente de l’association Mme Linah Kilimo pense que l’interdiction des mutilations génitales féminines va avoir un impact favorable au sein de la population féminine surtout dans le domaine de l’éducation.
Quant à l’honorable députée Mme Sophia Abdi Noor qui avait fait un témoignage poignant au parlement, lors de la première lecture du projet de loi au mois de juin 2011, en parlant de sa propre expérience, de ses difficultés lors de ses accouchements et du décès de ses enfants au moment de la délivrance, elle se réjouit tout spécialement de voir que les efforts de toutes les femmes kényanes ont été aujourd’hui couronnés de succès.
Lors de son sommet à Malabo (Guinée équatoriale) en juillet 2001, l’Union africaine s’est engagée à accélérer le processus d’abandon des mutilations génitales féminines et à éradiquer une telle pratique. Elle avait même prévu de soumettre à l’Assemblée générale des Nations-Unies en septembre 2011 un projet de résolution pour une interdiction universelle des M.G.F.
Actuellement 10 pays n’ont toujours pas promulgué de lois contre les mutilations génitales féminines qui sont pratiquées à grande échelle ou elles sont sans effet.Il s’agit du Mali, La Sierra Leone, le Soudan la Gambie, le Libéria, l’Erythré, Les Comores, Djibouti, l’Egypte.
La Somalie et la Guinée-Conakry(1965) ont promulgué des lois qui ne sont pas appliquées.
On peut être une bonne épouse Africaine respectueuse des lois et de la morale qui régit la société sans pour autant être stigmatisée dans sa chair.
FORWARD-Germany félicite ses partenaires qui ont travaillé sans relâche pour l’avènement d’un tel jour et les parlementaires d’avoir promulgué une telle loi qui va préserver l’intégrité physique des filles et des femmes.
Source www.guardian.co.uk
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