Des militaires comoriens en déplacement en Afrique de l’Est pour traquer des jeunes comoriens ! n signalement sera fait ce jour aux autorités judiciai
ASSASSINAT BARBARE DU JEUNE MILITAIRE Ahmed ABDOU Alias FANON DANS UN CAMP MILITAIRE AUX COMORES : Des militaires comoriens en déplacement en Afrique de l’Est pour enlever et séquestrer des réfugiés
Avec la complicité de l’ambassadeur des Comores en Tanzanie et au Kenya, l’Adjudant-chef Ali Saïd , originaire de Niamboiro (île d’Anjouan) et le lieutenant BASTOI Mohamed , originaire de Moheli, envisagent de prendre l’avion demain, le 21 septembre 2024, en direction de l’Afrique de l’Est pour traquer des jeunes comoriens.
Mobilisation de tous les démocrates pour faire échouer le projet d’enlèvement et de séquestration des militaires comoriens qui ont fuit la dictature et en exil en Afrique de l’Est.
Par lettres remises ce jour aux représentations diplomatiques des pays de l’Afrique de l’Est basées à Genève, une autre au Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et celle celle remise au Haut Commissaire des Nations-Unies pour les droits de l’homme, notre parti politique, le RIDJA-PACTEF, a tenu à alerter les dirigeants de ces pays voisins et les responsables de ces institutions internationales spécialisées des menaces de mort faites à des jeunes militaires qui ont fuit la dictature sanguinaire du colonel Azali Assoumani et de la nécessité absolue d’accorder à ces derniers la sécurité et une protection conformément à la convention internationale de protection des réfugiés.
Un signalement sera fait ce jour aux autorités judiciaires de ces pays contre les agissements criminels des autorités comoriennes agissant avec la complicité de l’ambassadeur des Comores.
Nous rappelons qu’il arrivera toujours un « malheur à la politique qui veut fonder la prospérité d’un pays sur le désastre des autres et malheur à l’homme dont la fortune est cimentée par les larmes de ses semblables ».
Nous continuerons à apporter assistance et soutien à ceux et celles qui prennent des risques pour eux et leurs proches pour libérer notre pays , les Comores, pris en otage par un régime totalitaire et sanguinaire.
En cette journée bénie, nos prières aux trente neuf (39) victimes, assassinées par les militaires agissant sous le commandement et avec l’aval du colonel Azali Assoumani. Que le tout puissant leur accorde sa miséricorde.
Saïd Larifou
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