Le coup du maître. Azali, reconnaissons le, s'il s'en sert mal de toutes les qualités humaines et facultés intellectuelles qu...
Le coup du maître.
Azali, reconnaissons le, s'il s'en sert mal de toutes les qualités humaines et facultés intellectuelles que le Bon Dieu a bien voulu lui laissé jusque là pour aider sont peuple à s'en sortir de la pauvreté, il s'en sert en haut lieu et très bien des techniques de ruse qu'il a apprises à l'école de guerre.
Il faut reconnaître le coup de maître d'Azali sur la scène politicienne comorienne. Celui de se trouver en toute circonstance des jeux qu'il organise maintenant presque régulièrement depuis son retour de 2016, au moins un personnage, un idiot utile pour jouer l'adversaire. Je ne parlerai pas des tractations montées de toute pièce au sain de sa mouvance pour faire diversion sur l'existence d'un quelconque débat.
La dernière fois, ils étaient 13, tous malades et convaincus qu'ils sont dans la légitimité pour diriger le pays. Hier, il n'était qu'un seul ou presque. Les autres boiteux ayant été mis hors territoire ou hors jeu.
Le plus jeune, le plus ambitieux après s'être invité pour une médaille et une tasse de café, au désistement des autres s'est dit que c'était le moment. Et pourtant, SAADI n'est pas un con. C'est un homme qui réussit dans ses entreprises.
Mais...
Aujourd'hui, il reste plus personne qu'Azali n'a pas tourné en bourrique.
Par Said Mouhammad Ydyidy
Par Said Mouhammad Ydyidy
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