J'ai horreur des gens qui mentent Dans une publication , Mohamed Rafsandjani (photo) interpelle le ministre de l’intérieur, le s...
Dans une publication, Mohamed Rafsandjani (photo) interpelle le ministre de l’intérieur, le sommant de revenir sur ses postions concernant le tarweh.
Il dit sans sourciller que la loi n°08-011 portant pratiques religieuses en Union des Comores, votée sous Sambi mais promulguée par Ikililou n’existe plus car rétorquée par la défunte Cour Constitutionnelle alors qu'il n'en est rien.
Au cours de l'audience consacrée, toutes les dispositions ont été reconduites malgré la requête des chiites de Ngazidja dirigés par Mohamed Mladjao à l'exception des passages relatifs à la durée des peines. Mohamed Rafsandjani a certes d'amples connaissances en droit mais il ne peut pas mentir sur la législation comorienne pour des intérêts partisans.
Au cours de l'audience consacrée, toutes les dispositions ont été reconduites malgré la requête des chiites de Ngazidja dirigés par Mohamed Mladjao à l'exception des passages relatifs à la durée des peines. Mohamed Rafsandjani a certes d'amples connaissances en droit mais il ne peut pas mentir sur la législation comorienne pour des intérêts partisans.
Porté par un public à lui acquis, il donne souvent des informations juridiques qui s'éloignent des dédisons de justice comoriennes probablement à la recherche d'acclamations et de sensations. Je ne peux pas arriver à sa cheville comme a dit l'autre icone mais la position de chacun de nous sur ces lois votées ne doit pas occulter l'idée que derrière ces positionnements il y a des textes.
Par Djounaid Djoubeir
Par Djounaid Djoubeir
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