La justice comorienne va poursuivre pour "atteinte à la sûreté de l'Etat" les dirigeants de l'opposition qui refusent d...
La justice comorienne va poursuivre pour "atteinte à la sûreté de l'Etat" les dirigeants de l'opposition qui refusent de reconnaître la réélection controversée, le mois dernier, du président Azali Assoumani.
Avant même la proclamation des résultats de la présidentielle, les 12 candidats de l’opposition ont annoncé qu’ils ne reconnaîtront pas les résultats.
Ils ont formé un comité National de Transition. Un gouvernement parallèle dirigé par Soilihi Mohamed alias Campagnard. Dès la déclaration de ce comité, Campagnard a été arrêté. Le gouvernement déclare cette organisation comme étant criminelle et qui porte atteinte à la sûreté de l’Etat. C’est l’ancien gouverneur Mouigni Baraka qui a pris le relais et à l’étranger, c’est l’ancien ambassadeur des Comores à l’ONU, qui représente le CNT. A suivre ...
Avant même la proclamation des résultats de la présidentielle, les 12 candidats de l’opposition ont annoncé qu’ils ne reconnaîtront pas les résultats.
Ils ont formé un comité National de Transition. Un gouvernement parallèle dirigé par Soilihi Mohamed alias Campagnard. Dès la déclaration de ce comité, Campagnard a été arrêté. Le gouvernement déclare cette organisation comme étant criminelle et qui porte atteinte à la sûreté de l’Etat. C’est l’ancien gouverneur Mouigni Baraka qui a pris le relais et à l’étranger, c’est l’ancien ambassadeur des Comores à l’ONU, qui représente le CNT. A suivre ...
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