L’union de l’opposition comorienne devrait respecter et accepter le 25 mars la victoire écrasante d’Azali Assoumani dès le 1er tour : Un ...
L’union de l’opposition comorienne devrait respecter et accepter le 25 mars la victoire écrasante d’Azali Assoumani dès le 1er tour : Un but à zéro
Les élections présidentielles en Afrique sont débouchées, comme à l’accoutumée, sur des crises post-électoralessignificatives et de vives tensions sans précédent qui déstabilisent le pays visé et témoignent de toute évidence l’enfantillage de la conceptualisation de la démocratie en Afrique en général et aux Comores en particulier.
Il en est de même de mettre l’accent sur ce point cardinal que l’élément définitoire de la démocratie repose scrupuleusement sur le choix du peuple ou la décision du peuple à élire de manière transparente leurs dirigeants par la voie de processus électoral en suffrage universel direct. Effectivement, il est regrettable d’emblée que l’élection comorienne finisse toujours par de termes récurrents comme des irrégularités ou des mascarades électorales.
Il peut s’agir, bien évidemment, des thématiques qui sont dépourvues de logico-sémantiques dans la mesure où les médias étrangers et les réseaux sociaux ont pour objectif assigné d’inciter le peuple à la bataille rangée et d’enliser la Nation comorienne dans un chaos total. Je vous attire l’attention sur cet élément fondamental que la paix constitue inexorablement une richesse sur l’ensemble de l’archipel des Comores, et il est hors question que des politiciens sans projet, ni foi ni loi s’apprêtent à semer la zizanie pour des fins personnelles. Cette élection participe d’enjeu majeur pour le développement durable et intégré des Comores.
Dans cette perspective, le média comme Radio France Internationale (RFI), un canal de communication référentielle en Afrique ne cesse à tour de bras de propager des informations souvent troublantes et des termes inappropriés axés sur des provocations incitatives au conflit communautaireet à la guerre à outrance. Les informations inférentielles sont centrées sur des élections émaillées de fraudes et des propos qui jettent le feu dans l’huile. Certes, la campagne comoriennebat son plein et il serait lucide que tout un chacun assure ses arrières sur ce paramètre crucial.
Il importe que l’opposition comorienne sache avec conviction que le bilan de 2 années du président AZALI Assouamni a connu indéniablement un succès incommensurable dans tous les domaines confondus ;et les comoriens sont conscients des raz de marrée qui ont été concoctés et menés par Al-Iman Azali et son gouvernement. C’est pour autant, son réélection sera ipso facto systématique dès le 1er tour pour que les comoriens évitent les confusions et les querelles byzantines oiseuses, voire sans fondement.
De guerre lasse, il serait souhaitable que les élections anticipéesdu 25 mars 2019 ne soient pas être dans le cas échéant des synonymes de désordre institutionnel et social ; mais un choix décisif, un destin commun et une vision clairvoyante du peuple comorien dans son ensemble à élire le candidat capable de mettre sur pied les projets de grande envergure visant à consolider la politique de l’émergence vers l’horizon 2030.
A cette évidence, la seule personne qui ait les compétences mises en œuvre pour l’édification de l’union des Comores, et à espérer pour nos progénitures un avenir radieux et prospère, est son excellence Al-Iman, colonel, Hadj le candidat AzaliAzoumani.
BACAR Azihar Abdou
Diplômé en didactique du français à l’Université
De Paul-Valéry Montpellier 3
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