Notre champ d’étude peut s’agir de mettre en exergue et de répondre de manière plus approfondie et limpide à certaines questions préliminai...
Notre champ d’étude peut s’agir de mettre en exergue et de répondre de manière plus approfondie et limpide à certaines questions préliminaires qui se focalisent, entre autres, sur les objectifs réalisés et qui en tiraient profit les comoriens durant les cinq années du pouvoir de l’ex-président Sambi. Là encore, quelles sont aussi également les conséquences significatives qui en découlaient pendant son exercice présidentiel? C’est dire qu’elles sont les stratégies qu’il a été mises en place pour contribuer au développement pérenne de notre pays ? Pourquoi et comment l’ex-président avait terni l’image des Comores en matière de crédibilité internationale ?
En effet, notre analyse préalable et la mise au point ne consistent pas à décrire rétrospectivement un mémoire d’Histoire ou des faits séquentiels ;mais elle s’intéressera de façon la plus explicite possible à passer en revue et décortiquer les réalisations effectuées et les déceptions grandissantes que subissaient le peuple comorien durant cette période. Nos problématiques cardinales susmentionnées donnent lieu à examiner avec le plus grand soin sur les différents motifs qui lui a poussés à être candidat ?
Dès lors, Ahmed Aballah Sambi avait-il des programmes structurés et organisationnels pour bâtir à chaud et ciment les Comores ou une utopie à grande échelle afin de brusquer fortune au détriment de la population démunie ? Pourquoi il s’est permis sans l’aval de l’Assemblée Nationale de vendre notre citoyenneté à travers l’achat de passeports comoriens à des étrangers mafieux et malséants? En réponse à cette présupposition, il nous semble pertinent de mentionner que cet achat lui avait emporté une manne financière gigantesque et il est devenu inéluctablement de milliardaires avec ses acolytes Abou Achirafi, aux dépens de la population de Koni-djodjo etc.
Dès lors, Ahmed Aballah Sambi avait-il des programmes structurés et organisationnels pour bâtir à chaud et ciment les Comores ou une utopie à grande échelle afin de brusquer fortune au détriment de la population démunie ? Pourquoi il s’est permis sans l’aval de l’Assemblée Nationale de vendre notre citoyenneté à travers l’achat de passeports comoriens à des étrangers mafieux et malséants? En réponse à cette présupposition, il nous semble pertinent de mentionner que cet achat lui avait emporté une manne financière gigantesque et il est devenu inéluctablement de milliardaires avec ses acolytes Abou Achirafi, aux dépens de la population de Koni-djodjo etc.
Pour aller vite en besogne et d’éviter des procédés à des verbiages inappropriées, il serait profitable, dès l’abord, de mettre l’accent de manière succincte sur les projets péremptoires qu’il avait été érigés et concoctés au moment de sa campagne présidentielle et qu’il souhaiterait à tout prix les mettre en exécution dès qu’il accède à la magistrature suprême. Les priorités de ses thématiques de prédilection ont été centrées essentiellement sur des sujets sensibles : « la lutte à outrance contre la pauvreté car il se croit dur comme fer qu’il est le père de la pauvreté », le rétablissement de la justice, la mise en exécution du projet habitat et social, l’aspiration à une vie meilleure, le partage et la distribution des biens et la construction des micro-entreprises, l’intolérance zéro de la corruption, et l’augmentation du pouvoir d’achat etc.
Contrairement à cela, il ne fallait pas perdre dans cette dimension de vue que le régime de Sambi ne reposait pas scrupuleusement sur l’idée force de création des entreprises susceptibles d’embaucher des jeunes désespérés et délaissés ; mais il se contentait de spéculer sur de donations extérieures par l’entremise des pays de Golf pour pouvoir payer les arrières et les salaires des fonctionnaires. Il serait illégitime qu’un pays souverain ne parviendrait pas à investir par ses propres moyens afin de lutter contre l’injustice sociale et les chômages grandissants. Il en était de même de prendre acte que son gouvernement dépendait de fonds de Doha et de la mendicité incommensurable, mais il n’avait jamais une visée d’intentionnalité de mettre sur pied un système dynamique visant à exploiter notre ressource naturelle en vue d’en finir avec la servitude de la Banque Mondiale. Il est illusoire d’espérer une amélioration radicale dans un pays où l’appareil étatique fonctionne à coup sûr grâce à des instances internationales.
Il y a lieu de spécifier enfin que le régime de Sambi se résume de toute évidence en un fiasco sans précèdent et que l’on peut sérier à plusieurs paramètres. Il ne faut pas aller contre l’évidence que sa présidence n’a pas résolu autant de problèmes auxquels confronte le peuple comorien et il n’a pas tenu, dans la règle de l’art, ses promesses. Qui de plus est, il peut nier cette véracité que la plupart des comoriens vivement sous au seuil de pauvreté, et durant son mandat, il y avait un manquement d’infrastructures routières considérables, comme par exemple : la route Ouani vers Mutsamudu, de même celle de Tsembehou région de cuvette, une inexistence d’électricité dans les trois îles des Comores, la démolition aveugle de hôtel Gala Beach au Grande-Comore sans envisager une remédiation, la non réalisation de petits ports, mais juste la construction de l’hôpital de Bamboa Mtsangagrâce à la Chine.
Dans cette perspective, il nous paraît judicieux de donner voix aux chapitres que Mayotte Française est devenue départementale à cause de l’arrogance de l’ex-président Sambi et son discours creux et dépourvu de logico-sémantique qu’il avait prononcé grossièrement à l’ONU devant le Président français Nicolas Sarkozy et qui réprimandait de manière véhémente que « Mayotte est une île comorienne à deux administrations ». C’est ainsi que Sarkozy avait anticipé sur la consultation directe de Mahorais vis-à vis de cette orientation du choix.Chemin faisant, il est à remarquer que notre ex-président Sambi est conçu comme un prophète par certains gens pour un simple facteur déterminant qu’il est le seul prédicateur religieux qui ait autorisé de plein droit l’existence de la secte chiite aux Comores. Ce Monsieur Turban a de belles paroles et en réalité, il fait de bruit pour rien,Il est de même l’homme sans égal qui fait rêver de milliers de gens naïfs et qui se suggèrent à leur âme et conscience qu’Ahmed Abdallah Sambi, par leur croyance en l’islam, est l’unique homme capable de transformer l’union des Comores en eldorado.
BACAR Azihar Abdou
Marseille