Les bienfaits de l’immigration, Mon Père est né la bas On n'a pas besoin d'hommes forts, on a besoin d'hommes formés, métho...
Les bienfaits de l’immigration, Mon Père est né la bas
On n'a pas besoin d'hommes forts, on a besoin d'hommes formés, méthodiques et intelligents. Depuis des années, l'espace politique comorien ouvre ses portes aux hommes forts moins regardants vers l'avenir. Il est temps que ça change. Pourquoi changer ? Le monde de maintenant évolue en technologie pour permettre à sa population de vivre mieux et profiter de la vie, profiter d'une meilleure santé, d'une mobilité de qualité et ainsi pouvoir se déplacer facilement dans des conditions moins coûteuses. Le Comorien de maintenant reste marginal, presque dans tous les domaines. Il est de plus en plus naïf, il croit en tout comme un enfant.
Le Comorien ne bénéficie pas d'une protection sociale, d'une meilleure santé lui permettant de vivre mieux et profiter de la vie, ni de voyager profitant de découvrir l'humanité et comprendre son devoir sur terre. Il est resté le mendiant d'hier et d'aujourd'hui dans les carrefours du développement, sans gêne ni scrupule. Il développe cette attitude d'assistanat comme le moyen le plus noble de l'humanité, il rend son savoir et sa capacité inutile au profit de l'insouciance et de l'inconscient proche d'un peuple de Trop. L'homme politique comorien ne propose rien, ne s'occupe de rien et joue la carte de l'imbécile.
Un lieur d'espoirs s'invite dans l' espace politico associative
Une génération d'enfants nés hors archipel. Cette génération ne va pas tarder à prendre les choses en main. Elle arrive doucement dans la vie politique, associative et dans le marché du travail, elle commence à être visible. Elle représente une part de plus en plus grande des organisateurs des forums de développement, d'entreprenariat.
Mais cette génération se veut différente de celles du pays d’origine dans tous les domaines. Plus ouverte, plus mobile, plus connectée, plus diversifiée… la génération est d’ores et déjà en train de transformer le monde associatif. Les jeunes connectaient comme on les appelle, à déjà commencé à faire évoluer la mentalité du sens de responsabilité. Cette génération est peut-être aussi celle qui transformera le pays, les entreprises et les fera passer du bon côté: celui du développement durable, de la justice sociale. Elle est peut-être celle qui fera le pays un univers plus juste, plus équitable, . C’est en tout cas ce que souhaite la population. ©Rafik Adili