Le torchon brouille à l’ANACM entre le directeur général et son adjoint: Jean Marc se comporte comme le Roi de l’ANACM
Nommé depuis le 28 septembre, Yahaya Ahemed Mohamed Alias PEC, a attendu un mois avant qu’il prenne travail au poste du Directeur Général Adjoint de l’ANACM. Un poste que Jean Marc, le directeur Général ne considère pas, tout en violant par mépris, l’arrêt de son ministère de tutelle.
Le dernier épisode du fiasco de Yahaya Ahmed Mohamed et son directeur Jean Marc a eu lieu le lundi dernier quand le Directeur Général a décidé de donner son intérim au directeur de la sécurité des vols et non à son directeur Adjoint. Une décision en violation de la note de remise en ordre signé par le Secrétaire général du ministère du transport qui avait signifié aux directeur généraux que « pendant l’absence de tout directeur général, l’intérim soit être assumé obligatoirement par le directeur Adjoint », lit-on dans ce note du 4 novembre dernier.
Mais le Directeur Général de l’ANACM a décidé de passer outre cette note en refoulant son directeur adjoint dans son bureau comme un vaut à rien après avoir réclamé son droit. Une « insolence » qu’ont subi également Sefoudine, le directeur d’Inter ile mais aussi celui de l’agence Matembezi. « Jean Marc refuse de donner l’intérim à son directeur adjoint. Ce qui a ouvert une guerre de chef à l’ANAC. Et le samedi dernier, ça y était une catastrophe », a expliqué une source de l’ANACM.
Mais le Directeur Général de l’ANACM a décidé de passer outre cette note en refoulant son directeur adjoint dans son bureau comme un vaut à rien après avoir réclamé son droit. Une « insolence » qu’ont subi également Sefoudine, le directeur d’Inter ile mais aussi celui de l’agence Matembezi. « Jean Marc refuse de donner l’intérim à son directeur adjoint. Ce qui a ouvert une guerre de chef à l’ANAC. Et le samedi dernier, ça y était une catastrophe », a expliqué une source de l’ANACM.
Selon notre, source, Jean Marc refuse de reconnaitre le nouveau directeur Adjoint puisque n’accepte pas son dictature. « Jean Marc dirige l’ANACM comme si on est à la période coloniale. Sans respect du personnel, il se permet de se fixer un salaire d’un présidant. Il se doter un indice de 5000 qui n’existe même pas dans la fonction publique comorien et il gagne un salaire de 1 .498. 000 fc, sans compter les autres avantages notamment sa voiture, sa maison, son téléphone… Donc la seule personne a décrié son comportement et son directeur Adjoint dont l’objet de sa mépris en vers lui », a t-il expliqué notre source.
Dans leur bagarre du lundi dernier, beaucoup des secrets ont été sortis, et le nouveau directeur Adjoint aurait dit sous la colère selon notre source que « Je peux pas accepter que ce Monsieur se permet de traiter les gens avec impolitesse et je peux pas accepter cela. Et s’il continu comme, je suis prêt à mener cette guerre et je ne crois pas qu’on va s’attendre donc, je crois que s’il faut que des têtes tombent, tomberons et que ça soit moi ou lui, mais l’un va partir», a-t-il promis selon notre source.
A présent au Mali pour l’assemblé général de l’ASCNA, son intérim est assuré par Nassur Ben Ali, le directeur de la sécurité des vols et non le directeur général adjoint. Pendant qu’à l’ANCM, le délégué du personnel manipule le personnel pour signer une pétition en solidarité à son directeur sous prétexte qu’ils ne veulent pas travailler avec le nouveau DGA. Mais a ce point, le personnel est aussi divisé.
Nakidine Hassane