Monsieur le président de l'Assemblée, Avant l'ouverture de la cession parlementaire de l'Union des Comores de ce mois d...
Monsieur le président de l'Assemblée,
Avant l'ouverture de la cession parlementaire de l'Union des Comores de ce mois d'octobre, vous avez déclarer dans la presse comorienne que vous allez évoquer aux parlementaires d'examiner la situation des milliers des salariés licenciés par décret du gouvernement dans la société Comores télécom et dans le ministère de l'éducation nationale pour des raisons politiques. Oui raison politique, car selon le gouvernement, toute personne recruté pendant la période électorale entre janvier et mai de l'année en cours sera exilé de son poste de travail. Il me semble que vous êtes un défenseur de la jeunesse comorienne car vous avez déclarer un jour dans les bancs de l'Assemblée nationale de Hamramba, je cite : * occupons nous de cette jeunesse sinon elle ne tardera pas à s'occuper de nous *. Fin de citation.
La jeunesse comorienne souffre car elle est délaissée par les politiques successifs, et elle ne s'est pas de quelle pied danser. Aucune structure n'est mis en place pour sauver la jeunesse comorienne. Le pays manque de tout. Les politiques n'ont pas de vision de cette jeunesse. L'agriculture et l'élevage sont délaissés. L'industrialisation et la technologie de point sont loin de s'installer dans le pays car la production de l'énergie dans la societé nationale MaMwe est au point mort. Il est devenu un fardeau pour les gouvernements successifs et les politiques depuis quarante et un ans .
En tant que simple citoyen, ma question est simple monsieur le président de l'Assemblée nationale de hamramba. Vous avez déclarer que le dossier des milliers des jeunes licenciés sera évoquer lors de la cession parlementaire de ce mois d'octobre en cours, afin de trouver une solution de ces jeunes licenciés avec le gouvernement. Alors monsieur le président où en est ce dossier ? Y'a t-il espoir de compromis entre le parlement et le gouvernement pour que ces milliers des jeunes qui ont perdu espoir retourne un jour dans leur postes de travail ? Si oui dans combien de temps ces jeunes retournerons à la raison. Par Abderemane Mohamed