L’opinion publique a appris avec grande amertume, les fausses allégations rependues dans les réseaux sociaux contre le ministre de la justi...
L’opinion publique a appris avec grande amertume, les fausses allégations rependues dans les réseaux sociaux contre le ministre de la justice Fahmi SaidIbrahim. Nous sommes profondément déçus de ces contre vérités.
Au lendemain de l’arrestation du multirécidiviste Branda à Anjouan, le ministre de la juste se trouve déjà à l’extérieur plus précisément au Maroc en passant par Paris dans le cadre d’une mission étatique visant à promouvoir les réformes judiciaires dont notre pays en a besoin pour redresser l’appareil judiciaire et le renforcement des capacités.
Dans le feuilleton de la crise d’assassinat collective de Branda et la destruction du palais de justice de Mutsamudu, tout le monde est conscient que l’image sécuritaire de notre pays se perd du jour au jour et nécessite le concours de tout un chacun pour lutter contre ces phénomènes étrangères pour notre pays. La question sécuritaire n’est pas un souci du gouvernement d’iman Azali Assoumani mais une responsabilité collective.
Il est de notre devoir tous ensemble, de bien veiller pour que la paix règne dans notre pays. C’est d’ailleurs la problématique qui préoccupe la communauté internationale. Les récents événements de Nice, Munich (des super puissances touchés) prouvent bien qu’aucun pays n’est à l’abri des actes barbares.
Le Garde de Sceaux n’est pas un soldat déserteur, mais plutôt un capitaine audacieux prêt à servir son pays et mourir pour ces citoyens.
Dans le cas de figure, il règne certes un climat exceptionnel à Anjouan, d’où avocat, magistrat, gendarme, policier voire même société civile, ont la responsabilité d’accompagner les actions du gouvernement d’iman Azali Assoumani pour le rétablissement de la paix et de la concorde.
Il nous faut donc consolider le processus démocratique déjà engagé par nos autorités en préservant la paix civile. Unir nos forces pour combattre l’insécurité est la seule et unique voie de sauver notre pays.
La haine contre ceux qui sont au pouvoir ne doit pas dépasser l’amour de notre pays.
Youssouf ISMAEL MMADI