UN HOMME FACE A SON DESTIN. En réponse à l'ignorance, à l'indifférence dont est victime SAID ALI MOHAMED , j'ai pris la libert...
UN HOMME FACE A SON DESTIN.
En réponse à l'ignorance, à l'indifférence dont est victime SAID ALI MOHAMED, j'ai pris la liberté de mettre en lumière ce que certains ne voudraient pas admettre afin que les jeunes qui n'ont retenu que la rumeur n'en soient pas victime. Je voudrais que la parole soit accordée à ceux qui connaissent SAID ALI MOHAMED, plutôt qu'à ceux qui imaginent ce qu'il aurait pu faire.
Un mythe est construit autour de cet homme intègre, épris de liberté et sachant respecter celle des autres sans jamais offenser. Il a du fait de ses convictions, servi avec loyauté et avec la plus grande rigueur son village et plusieurs Chefs d’État du pays. Son engagement pour le développement des Comores est de lutter contre l'ignorance et la pauvreté.
C'est pourquoi, j'ai décidé de revenir sur ses réalisations sociales et politiques pour un éclairage.
A peine dix sept ans, SAID ALI MOHAMED a une vision étendue sur la misère du pays, le retard des couches défavorisées en matière d'enseignement et développe surtout un refus d'inégalité des villes et villages du pays. Bimbini, un minuscule village de quelques dizaines de pêcheurs au début des années 70 est érigé par SAID ALI, en moins de 20 ans comme la première ville intellectuelle de l'île, du pays par densité. Jusqu'au moment où j'écris ces lignes, qui remuent l'estomac des apôtres de la haine, Bimbini est associé au nom de l'homme.
L'homme est un politicien, 50 ans durant, intègre, démocrate et l'a prouvé à maintes reprises. Au ministère de la santé et à la celui de l’Éducation nationale, il a entrepris des réformes en profondeur, notamment la formation des agents. Je vous envois aux archives.
Il a, par deux fois refuser la déstabilisation de son pays en prenant les risques les plus extrêmes:
1. la victoire du rétablissement de l'intégrité et des valeurs républicaines par le retour en tant que Chef d’État de Said Mohamed Djohar qui a été déporté à la Réunion.
2. son sens de devoir, refusant le séparatisme en le combattant de toute son énergie sans jamais mettre en péril son village. Je rappelle, au passage que SAID ALI MOHAMED a montré aux décideurs politiques de l'heure, notamment NIDHOIME ATTOUMANE, son désaccord sur la méthode de résoudre le dossier séparatiste à Anjouan. Le résultat direct était la mise en danger de la ville de Bimbini sinistré le 9 Août 1997.
Je reviendrais en détail sur les actions de cet homme hors du commun dans les prochains écrits pour vous ouvrir les yeux sur cette légende.
L'ingratitude des autorités de ce pays tue ces rares personnes susceptibles de trouver la solution à la mise en lambeaux de l’État comorien. Et croyez moi, SAID ALI a les ressources nécessaires à un changement positif du cap de l'archipel des Comores qui va droit au mur!
Par BEN ALI
En réponse à l'ignorance, à l'indifférence dont est victime SAID ALI MOHAMED, j'ai pris la liberté de mettre en lumière ce que certains ne voudraient pas admettre afin que les jeunes qui n'ont retenu que la rumeur n'en soient pas victime. Je voudrais que la parole soit accordée à ceux qui connaissent SAID ALI MOHAMED, plutôt qu'à ceux qui imaginent ce qu'il aurait pu faire.
Un mythe est construit autour de cet homme intègre, épris de liberté et sachant respecter celle des autres sans jamais offenser. Il a du fait de ses convictions, servi avec loyauté et avec la plus grande rigueur son village et plusieurs Chefs d’État du pays. Son engagement pour le développement des Comores est de lutter contre l'ignorance et la pauvreté.
C'est pourquoi, j'ai décidé de revenir sur ses réalisations sociales et politiques pour un éclairage.
A peine dix sept ans, SAID ALI MOHAMED a une vision étendue sur la misère du pays, le retard des couches défavorisées en matière d'enseignement et développe surtout un refus d'inégalité des villes et villages du pays. Bimbini, un minuscule village de quelques dizaines de pêcheurs au début des années 70 est érigé par SAID ALI, en moins de 20 ans comme la première ville intellectuelle de l'île, du pays par densité. Jusqu'au moment où j'écris ces lignes, qui remuent l'estomac des apôtres de la haine, Bimbini est associé au nom de l'homme.
L'homme est un politicien, 50 ans durant, intègre, démocrate et l'a prouvé à maintes reprises. Au ministère de la santé et à la celui de l’Éducation nationale, il a entrepris des réformes en profondeur, notamment la formation des agents. Je vous envois aux archives.
Il a, par deux fois refuser la déstabilisation de son pays en prenant les risques les plus extrêmes:
1. la victoire du rétablissement de l'intégrité et des valeurs républicaines par le retour en tant que Chef d’État de Said Mohamed Djohar qui a été déporté à la Réunion.
2. son sens de devoir, refusant le séparatisme en le combattant de toute son énergie sans jamais mettre en péril son village. Je rappelle, au passage que SAID ALI MOHAMED a montré aux décideurs politiques de l'heure, notamment NIDHOIME ATTOUMANE, son désaccord sur la méthode de résoudre le dossier séparatiste à Anjouan. Le résultat direct était la mise en danger de la ville de Bimbini sinistré le 9 Août 1997.
Je reviendrais en détail sur les actions de cet homme hors du commun dans les prochains écrits pour vous ouvrir les yeux sur cette légende.
L'ingratitude des autorités de ce pays tue ces rares personnes susceptibles de trouver la solution à la mise en lambeaux de l’État comorien. Et croyez moi, SAID ALI a les ressources nécessaires à un changement positif du cap de l'archipel des Comores qui va droit au mur!
Par BEN ALI