L’égoïsme, l’égocentrisme Parce que les femmes aiment partager, communiquer, échanger, l’égoïste est donc souvent mal perçu par une maj...
L’égoïsme, l’égocentrisme
Parce que les femmes aiment partager, communiquer, échanger, l’égoïste est donc souvent mal perçu par une majorité de femmes (excepté un groupe restreint de femmes qui les recherchent).
Mystérieux, soignés (car ils prennent beaucoup de temps à s’occuper d’eux), souvent beaux parleurs, les égoïstes attirent parfois les femmes par leur assurance et leur bagout. Elles aiment ces hommes qui parlent d’eux et (croient-elles) souhaitent partager leurs passions. Mais bien vite elles découvrent leur véritable nature.
Les femmes repèrent vite ceux qui ne se préoccupent que de leur bien-être et de la satisfaction de leurs seules attentes. Ces hommes mettent le couple à leur service plus que l’inverse.
Ils manquent totalement de générosité — ou alors elle est intéressée. Incapables du moindre altruisme, ils ne songent jamais à faire plaisir, ni à écouter les demandes des femmes et encore moins à les satisfaire.
Ils ne parlent que d’eux (leur sujet de discussion privilégié), de ce qu’ils font, ce qu’ils veulent, voire exigent. Infatués d’eux-mêmes, ils n’imaginent même pas qu’ils peuvent lasser, tant ils sont persuadés qu’ils sont passionnants. Ce faisant, ils sont sourds — car non-intéressés par l’autre, les autres en général.
Il ne faut évidemment rien leur demander, rien revendiquer, rien critiquer, rien dire ni faire qui demanderait un minimum d’attention de leur part.
Ces hommes ne peuvent même pas imaginer qu’une femme puisse attendre quelque chose d’eux : ils sont incapables de se remettre en question : il faut les aimer tels qu’ils sont. Et ils s’étonnent d’être, un jour, quittés. Ils sont d’ailleurs capables de traiter la femme qui les quitte d’égoïste...
Certains hommes peuvent, par leur côté infantile, plaire un moment aux femmes dans la mesure où ils aiment rire et faire rire.
Ils peuvent séduire par leurs capacités à improviser, à apporter de la fantaisie dans les rencontres. Ils peuvent embarquer l’autre dans des projets hors du commun, pour faire découvrir des lieux, des personnages étonnants. Car ils savent étonner, distraire et les femmes passent avec eux de bons moments, légers et agréables.
Mais la plupart des femmes finissent par se lasser de cet homme-enfant souvent capricieux, incapable d’une conversation sérieuse, qui se moque de (presque) tout et se débarrasse très vite de ce qui pourrait l’empêcher de s’amuser.
Elles se lassent d’un homme finalement trop imprévisible qui ne les rassure pas, pour qui la vie n’est qu’un jeu — et donc incapables du moindre engagement. Ils ne prennent rien au sérieux, ni les sentiments, ni l’expression des émotions.
Contre toute forme de romantisme, il préfère s’amuser de tout et s’ennuie rapidement lorsqu’une femme aborde des sujets d’avenir. Et lorsque une femme le quitte, trop inquiète et convaincue qu’elle ne pourra jamais compter sur lui pour quoi que ce soit, il fait semblant de n’être pas blessé et retourne très vite à ses jeux.
Quelle femme n’a pas un jour eu à contenir, bien malgré elle, les avances d’un Dom Juan ? Volages, ces hommes attirent bon nombre de femmes dans leurs filets car ce sont d’excellents séducteurs. Ils maîtrisent parfaitement l’art de séduction et, tels de parfaits caméléons, ils sauront exactement quoi dire et quoi faire pour faire tomber leurs proies dans leurs bras. L’aventure se prolongera aussi longtemps qu’ils le voudront car c’est le Don Juan, et lui seul, qui tient les rênes de la relation.
Parfois, ils tombent réellement amoureux, mais en restent à ce stade car ils ne savent pas aimer, l’amour exigeant le respect de l’autre.
Les femmes se laissent parfois berner par ces hommes qui ne manquent pas de qualités ni de talents. Elles peuvent se laisser attendrir, inconsciemment, par leur infantilité affective, cherchant d’une femme à l’autre à être rassuré sur l’amour que l’on peut leur porter. Il se cache derrière un argument qu’il croit incontournable : “J’aime trop les femmes pour n’en aimer qu’une seule”. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’un homme qui dit “adorer” les femmes ne sait pas en aimer une.
Mais c’est sans compter avec l’intuition féminine. Aujourd’hui, les femmes ne sont plus prêtes à ce mode de vie : d’abord flattées par ses égards aux relents d’amour galant, une majorité d’entre elles voit vite clair dans leur jeu et l’abandonne à ses futures conquêtes. Le Dom Juan, lui, s’étonne souvent d’être quitté.
Avec lasenegalaise.com
Parce que les femmes aiment partager, communiquer, échanger, l’égoïste est donc souvent mal perçu par une majorité de femmes (excepté un groupe restreint de femmes qui les recherchent).
Mystérieux, soignés (car ils prennent beaucoup de temps à s’occuper d’eux), souvent beaux parleurs, les égoïstes attirent parfois les femmes par leur assurance et leur bagout. Elles aiment ces hommes qui parlent d’eux et (croient-elles) souhaitent partager leurs passions. Mais bien vite elles découvrent leur véritable nature.
Les femmes repèrent vite ceux qui ne se préoccupent que de leur bien-être et de la satisfaction de leurs seules attentes. Ces hommes mettent le couple à leur service plus que l’inverse.
Ils manquent totalement de générosité — ou alors elle est intéressée. Incapables du moindre altruisme, ils ne songent jamais à faire plaisir, ni à écouter les demandes des femmes et encore moins à les satisfaire.
Ils ne parlent que d’eux (leur sujet de discussion privilégié), de ce qu’ils font, ce qu’ils veulent, voire exigent. Infatués d’eux-mêmes, ils n’imaginent même pas qu’ils peuvent lasser, tant ils sont persuadés qu’ils sont passionnants. Ce faisant, ils sont sourds — car non-intéressés par l’autre, les autres en général.
Il ne faut évidemment rien leur demander, rien revendiquer, rien critiquer, rien dire ni faire qui demanderait un minimum d’attention de leur part.
Ces hommes ne peuvent même pas imaginer qu’une femme puisse attendre quelque chose d’eux : ils sont incapables de se remettre en question : il faut les aimer tels qu’ils sont. Et ils s’étonnent d’être, un jour, quittés. Ils sont d’ailleurs capables de traiter la femme qui les quitte d’égoïste...
L’immaturité, l’inconséquence
Certains hommes peuvent, par leur côté infantile, plaire un moment aux femmes dans la mesure où ils aiment rire et faire rire.
Ils peuvent séduire par leurs capacités à improviser, à apporter de la fantaisie dans les rencontres. Ils peuvent embarquer l’autre dans des projets hors du commun, pour faire découvrir des lieux, des personnages étonnants. Car ils savent étonner, distraire et les femmes passent avec eux de bons moments, légers et agréables.
Mais la plupart des femmes finissent par se lasser de cet homme-enfant souvent capricieux, incapable d’une conversation sérieuse, qui se moque de (presque) tout et se débarrasse très vite de ce qui pourrait l’empêcher de s’amuser.
Elles se lassent d’un homme finalement trop imprévisible qui ne les rassure pas, pour qui la vie n’est qu’un jeu — et donc incapables du moindre engagement. Ils ne prennent rien au sérieux, ni les sentiments, ni l’expression des émotions.
Contre toute forme de romantisme, il préfère s’amuser de tout et s’ennuie rapidement lorsqu’une femme aborde des sujets d’avenir. Et lorsque une femme le quitte, trop inquiète et convaincue qu’elle ne pourra jamais compter sur lui pour quoi que ce soit, il fait semblant de n’être pas blessé et retourne très vite à ses jeux.
Être séduite oui, mais pas abandonnée
Quelle femme n’a pas un jour eu à contenir, bien malgré elle, les avances d’un Dom Juan ? Volages, ces hommes attirent bon nombre de femmes dans leurs filets car ce sont d’excellents séducteurs. Ils maîtrisent parfaitement l’art de séduction et, tels de parfaits caméléons, ils sauront exactement quoi dire et quoi faire pour faire tomber leurs proies dans leurs bras. L’aventure se prolongera aussi longtemps qu’ils le voudront car c’est le Don Juan, et lui seul, qui tient les rênes de la relation.
Parfois, ils tombent réellement amoureux, mais en restent à ce stade car ils ne savent pas aimer, l’amour exigeant le respect de l’autre.
Les femmes se laissent parfois berner par ces hommes qui ne manquent pas de qualités ni de talents. Elles peuvent se laisser attendrir, inconsciemment, par leur infantilité affective, cherchant d’une femme à l’autre à être rassuré sur l’amour que l’on peut leur porter. Il se cache derrière un argument qu’il croit incontournable : “J’aime trop les femmes pour n’en aimer qu’une seule”. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’un homme qui dit “adorer” les femmes ne sait pas en aimer une.
Mais c’est sans compter avec l’intuition féminine. Aujourd’hui, les femmes ne sont plus prêtes à ce mode de vie : d’abord flattées par ses égards aux relents d’amour galant, une majorité d’entre elles voit vite clair dans leur jeu et l’abandonne à ses futures conquêtes. Le Dom Juan, lui, s’étonne souvent d’être quitté.
Avec lasenegalaise.com