Elle n’en revient pas, Marie Christine Halidi découvre qu’elle est enterrée depuis un an dans un cimetière de Marseille alors qu’elle est vi...
Elle n’en revient pas, Marie Christine Halidi découvre qu’elle est enterrée depuis un an dans un cimetière de Marseille alors qu’elle est vivante. En mars 2011 une dame au nom de Marie Christine Halidi décède, une enquête de police pour usurpation d’identité est alors ouverte. Malgré la pression de la communauté et des autorités comoriennes, le permis d’inhumé ne sera délivré par la mairie que deux mois plus tard.
Jean Victor Cordonnier : Consulat de l’Union des Comores
Je me suis rapproché du procureur de la République qui m’a confirmé qu’il y avait eu bien entendu une usurpation d’identité et qu’il a été obligé de diligenté une enquête pour ne pas délivré ce permis d’inhumé à ce nom. Mais que si la famille acceptait qu’il y ait une inhumation sous « X » , il pouvait donnait cette autorisation.
Le corps n’est pas enterré sous « X » mais au nom de Marie Christine Halidi, un soulagement de la famille de la défunte, un drame pour le plaignante.
Cela fait plus de 15 ans que Marie Christine Halidi mène un combat judiciaire pour faire reconnaitre leur véritable Etat Civil.
Propos de Marie Christine Halidi
Le mois de mai 1988 j’ai eu deux jumeaux et après j’ai eu un enfant en 1999.
Je ne sais pas comment j’ai fait pour avoir ces enfants pendant toute cette période d’intervalle.
Près d’une dizaine d’autres personnes porte la même identité, difficile pour la famille Halidi d’entamer la moindre démarche administrative. Leur vie au quotidien est un calvaire.
Si le délai d’usurpation d’identité est bien reconnu par la justice, les faits eux sont prescrits.
L’auteur des faits ne peut être poursuivis pénalement pour autant elle ne despère pas.
Aujourd’hui elle se dit menacé de mort pour avoir osé porté plainte , la justice quant à elle se prononcera en septembre. Une nouvelle vie pourra peut être alors commencé ici ou ailleurs.
Jean Victor Cordonnier : Consulat de l’Union des Comores
Je me suis rapproché du procureur de la République qui m’a confirmé qu’il y avait eu bien entendu une usurpation d’identité et qu’il a été obligé de diligenté une enquête pour ne pas délivré ce permis d’inhumé à ce nom. Mais que si la famille acceptait qu’il y ait une inhumation sous « X » , il pouvait donnait cette autorisation.
Le corps n’est pas enterré sous « X » mais au nom de Marie Christine Halidi, un soulagement de la famille de la défunte, un drame pour le plaignante.
Cela fait plus de 15 ans que Marie Christine Halidi mène un combat judiciaire pour faire reconnaitre leur véritable Etat Civil.
Propos de Marie Christine Halidi
Le mois de mai 1988 j’ai eu deux jumeaux et après j’ai eu un enfant en 1999.
Je ne sais pas comment j’ai fait pour avoir ces enfants pendant toute cette période d’intervalle.
Près d’une dizaine d’autres personnes porte la même identité, difficile pour la famille Halidi d’entamer la moindre démarche administrative. Leur vie au quotidien est un calvaire.
Si le délai d’usurpation d’identité est bien reconnu par la justice, les faits eux sont prescrits.
L’auteur des faits ne peut être poursuivis pénalement pour autant elle ne despère pas.
Aujourd’hui elle se dit menacé de mort pour avoir osé porté plainte , la justice quant à elle se prononcera en septembre. Une nouvelle vie pourra peut être alors commencé ici ou ailleurs.