Le Centre hospitalier national El-Maarouf disposera bientôt d’un nouveau bloc opératoire comprenant deux salles d’opération modernes et s...
Le Centre hospitalier national El-Maarouf disposera bientôt d’un nouveau bloc opératoire comprenant deux salles d’opération modernes et ses annexes. La première pierre de l’édifice a été posée hier matin, dans l’enceinte même du Chn, en présence du vice-président chargé du ministère des Finances et la ministre de la santé.
Le projet bénéficie d’un financement de la Banque islamique de développement (Bid) d’un montant de plus de 89 millions de francs pour la construction, l’équipement et consommables. L’entreprise adjudicataire du marché, Société comorienne d’import-export et de construction (Scieco) a un délai d’exécution du projet de sept mois.
Dans son mot, à l’occasion organisée pour la circonstance, le directeur de l’hôpital El-Maarouf a souligné que la construction de ce nouvel espace s’imposait avec un bloc opératoire “qui ne répond plus aux normes actuelles“. Il a rappelé que l’hôpital est construit vers 1954, il y a donc cinquante huit ans aujourd’hui.
“C’est pour vous dire que les bâtiments sont complètement délabrés et le renouvèlement des infrastructures constituent un réel besoin”, a-t-il insisté. La ministre de la Santé a indiqué, quant à elle, que l’objectif de la construction de ce bloc opératoire est d’assurer l’accès aux soins à toute la population comorienne et des prestations médicales de qualité.
Elle a déclaré, en outre, que ce bloc permettra de résoudre les problèmes d’évacuation sanitaire à l’étranger. Elle a tenu, également, à préciser que ce projet s’inscrivait “dans le droit file de l’action sociale du quinquennat du président de la République“. Moinafouraha Ahmed a soutenu que ce projet vient s’ajouter à d’autres réalisations déjà menées à bien ou en cours de l’être dans le secteur de la santé.
Elle a aussi fait état des efforts fournis par la Chine, le Qatar, le Japon, entre autres, en faveur du développement sanitaire des Comores, tant en infrastructures qu’en équipements et médicaments.
Nakidine Hassane
alwatwan
Le projet bénéficie d’un financement de la Banque islamique de développement (Bid) d’un montant de plus de 89 millions de francs pour la construction, l’équipement et consommables. L’entreprise adjudicataire du marché, Société comorienne d’import-export et de construction (Scieco) a un délai d’exécution du projet de sept mois.
Dans son mot, à l’occasion organisée pour la circonstance, le directeur de l’hôpital El-Maarouf a souligné que la construction de ce nouvel espace s’imposait avec un bloc opératoire “qui ne répond plus aux normes actuelles“. Il a rappelé que l’hôpital est construit vers 1954, il y a donc cinquante huit ans aujourd’hui.
“C’est pour vous dire que les bâtiments sont complètement délabrés et le renouvèlement des infrastructures constituent un réel besoin”, a-t-il insisté. La ministre de la Santé a indiqué, quant à elle, que l’objectif de la construction de ce bloc opératoire est d’assurer l’accès aux soins à toute la population comorienne et des prestations médicales de qualité.
Elle a déclaré, en outre, que ce bloc permettra de résoudre les problèmes d’évacuation sanitaire à l’étranger. Elle a tenu, également, à préciser que ce projet s’inscrivait “dans le droit file de l’action sociale du quinquennat du président de la République“. Moinafouraha Ahmed a soutenu que ce projet vient s’ajouter à d’autres réalisations déjà menées à bien ou en cours de l’être dans le secteur de la santé.
Elle a aussi fait état des efforts fournis par la Chine, le Qatar, le Japon, entre autres, en faveur du développement sanitaire des Comores, tant en infrastructures qu’en équipements et médicaments.
Nakidine Hassane
alwatwan