CRC, ce partouche cheval de bataille de Nour El Fath Azali.
CRC, CE PARTOUCHE CHEVAL DE BATAILLE DE NOUR EL-FATIHOU AZALI
Bien qu’il soit au pouvoir, le parti CRC, est la formation politique la plus pestiférée des comoriens. Insoucieux des maux qui rongent le quotidien des citoyens, ce parti met en compétition tout ce qui est illicite. Tueries, liberticide, confiscation de la justice, arrestations arbitraires, répression de la population, famine, profanation de la religion et des us et coutumes, abus de pouvoir… pour ne citer que ces méfaits.
Quelques lignes dans le
contrat entre le président du pouvoir CRC et Satan. Comme l’argent ne fait pas
l’homme, la fortune, et les moyens de l’Etat ne rendent pas populaire un parti
politique. C’est bien le cas de la CRC née avec la cuillère en or dans la
bouche, donc une croissance dans l’argent et les biens de l’Etat.
Contrairement à certains partis politiques créés sans le pouvoir ou en dehors
duquel, le parti CRC, est un parti créé dans le pouvoir depuis Azali 1.
Un petit recule en arrière. Ceux qui ont Trent ans aujourd’hui, vivent des
partis qu’ils n’ont pas vu naitre. Exemple les partis SHUMA, et le Front
Démocratique. Sinon, il y a aussi le parti Juwa, qui a dix ans d’existence…
sont des partis qui ne sont pas nées du pouvoir contrairement à la CRC. Donc
de ceux-là on peut dire des partis fondés dans des idéologies, des programmes,
d’orientations et de convictions. Et malgré les menaces et les difficultés
inhérentes du pouvoir fitnocratique, l’existence de ces partis met en mal ce
pouvoir en place depuis huit ans sans aucun intérêt du peuple. Ce qui fait que
ses moguls deviennent paranoïaques et n’ont aucune défense que la théorie du
complot et les intrigues. Preuves montrant que le manque des substances d’un
parti politique leS rend vulnérables. La dignité d’un parti c’est la
confrontation et le combat d’idées.
« Ces derniers temps, adhésion contre poste »
Crc, un tiercé qui fait profiter les subordonnés. Aux yeux du monde, une
secte. Alors qui dit pouvoir, dit CRC. Donc l’impopularité du pouvoir n’est
autre que celle de la CRC, un PARTOUHE qui enrichit les heureux. « Si tu veux
rester dans ton travail, si tu veux échapper à la prison, si tu veux que
certains dossiers tiens ne soient pas déterrés… adhère à notre parti, la CRC.
» Telle est la méthode de recrutement du parti de loterie. Aussi des petites
coupures des billets de banque jaillissent chez les candides qui ne supportent
pas la souffrance au recoin, infligée par cette même CRC et son régime
fitnocratique. Said Ali Chayhane, Oumara Mgomri, Idi Boina, Houmed Mdahoma
Msaidié, Abdallah Said Sarouma (Chabhane)… servent d’exemple.
Qu’ont vu les comoriens il y a un an ? Tous les coins de l’archipel des
Comores ont été sillonnés par les ascètes de la CRC et Compagnie pour
soi-disant sensibiliser… afin d’obtenir des adhésions. Les incohérences, les
incertitudes, le manque d’assurance en soi, la fourberie et l’auto culpabilité
de ses prêtres sur scène, ont déshabillé cette formation. Tout a été concave.
Comme c’est un cheval de bataille du conseiller de son père Nour El-Fatihou,
les comoriens refusent la vassalité du père en fils. Témoignage de ce refus,
le rejet du régime fitnocratique du 14 janvier 2024, lors des élections
présidentielles et des gouverneurs. Lorsque le Bulldozer du pouvoir, Oussoufa
Mohamed Belou chantait 30 000 adhérents, au parti à l’espace d’un mois, ce ne
sont que les obtus qui ont cru. Et la conscience des comoriens leur a approuvé
le contraire. Aucun candidat de la Mouvance n’a récolté ne serait ce que la
moitié du nombre des adhérents annoncé. C’est ce qu’on appelle adhésion sans
conviction.
« Nour El-Fatihou, cet héritier du désert »
Parmi les raisons faisant que les comoriens rejettent ce parti, l’impertinence
de ses membres. Sans pédagogie ni humilité, sans courtoisie ni amabilité… les
discours tombent des bouches rouges des sorciers animateurs du parti. C’est
bien le cas du fils à Papa Nour El-Fatihou, maitre des sujets dont les têtes
sont entre les cuisses, et du gaffeur chargé d’ôter les âmes des innocents, le
téméraire chargé de la défense du Maitre paternel de son maitre héritier… Pour
se vêtir des nouveaux habits d’un parti politique, le rituel n’est pas
abandonné.
Des festins carapaces. Mais d’abord à Ikoni, lors de son rassemblement,
pourquoi les postes ont été rechignés par ceux qui se comptent des éprouvés
et/ou des importants du parti, si en vérité, ils croient en l’existence de
leur secte comme parti politique digne de ce nom ? Des nombreux individus de
rien du tout se font fortune dans cette anarchie tyrannique. Un poignet des
personnes s’attribue les biens de l’Etat ; détournement de fond public,
passassions des marchés en tapinois, jaillissement des billets de banque,
dilapidation de l’argent de l’Etat… et sur le toit, ils crachent dessus le
peuple. Et par leur conscience, les comoriens ne voient ce pouvoir que de
damné de la terre. La CRC, la Mouvance et le pouvoir sont détestables par les
comoriens Saint d’esprit. Ils sont nombreux redus miséreux par ce régime
fitnocratique. Même si la politique de ventre marche avec la CRC, mais la
dignité humaine, refuse le passage du pouvoir de père en fils. Un rêve qui
finira par un Cauchemar du père en fils.
Said Yassine Said Ahmed
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