La Complicité Exposée : Les Véritables Visages des Prétendus Opposants aux Comores. Ces candidats ont été sous l'emprise d'Azali, un "nègre de maison
La Complicité Exposée : Les Véritables Visages des Prétendus Opposants aux Comores
Au cœur de la tragédie politique qui a marqué la farce électorale du 14 janvier 2024, la véritable nature des six prétendus opposants candidats s'est révélée : ils ne sont rien de plus que des marionnettes manipulées par le despote sanguinaire Azali, agissant au service exclusif des intérêts égoïstes de leur île Ngazidja-Comore, donc des Wangazidja, sacrifiant sans scrupules les droits fondamentaux d’Anjouan et des Wandzuwani. Depuis 2021, ces derniers ont été cruellement privés de leur droit essentiel de participer à la Tournante présidentielle, un droit pourtant consacré dans la constitution originelle du 23 décembre 2001.
Ces candidats ont été sous l'emprise d'Azali, un "nègre de maison" vassal, manipulé par des forces étrangères. Leur allégeance à Azali les a détournés de l'intérêt véritable des Comoriens, révélant leur vrai visage cynique d'opportunistes animés par l'ethnocentrisme, au détriment des droits constitutionnels et du bien commun. Leur soutien à une élection présidentielle partiale, qui excluait délibérément les élites politiques anjouanaises de l'Union des Comores, contredit le principe démocratique essentiel d'une élection nationale ouverte à tous les citoyens.
Ces individus, loin de servir l'intérêt général, ont délibérément trahi les fondements de la démocratie. Ils ont participé activement à une machination orchestrée par un individu cynique, leur semblable, un pitre sans discernement, une tache d'ignominie pour l’Afrique tout entière. Ce dernier, osant se proclamer publiquement "marabout" aux Champs-Élysées lors d'une célébration du 14 juillet, dans une tentative grotesque d'obtenir les faveurs et assurances de Paris. Leur complicité dans cette mascarade révèle leur opportunisme et leur conscience aiguë du fait qu'un despote sanguinaire n'organise jamais une élection présidentielle pour la perdre, au risque de devoir répondre de tous ses crimes devant les tribunaux.
Leur mission n'était pas de représenter authentiquement les citoyens de l'Union des Comores, mais de donner une légitimité trompeuse au règne tyrannique d'Azali, permettant ainsi son maintien indéfini ad vitam aeternam au pouvoir. Cette démarche, loin de respecter les valeurs démocratiques, révèle une trahison délibérée contre les principes fondamentaux de la gouvernance représentative, sacrifiant l'intégrité politique au profit d'une mascarade orchestrée par des intérêts sinistres.
Une énième défaite des Anjouanais : le véritable coupable dévoilé ?
Dans l'incessante tempête politique, les Anjouanais ont une fois de plus mordu la poussière, victimes des ambitions égocentriques de leur leader, un mythomane mégalo. Entraînés malgré eux dans la farce électorale du 14 janvier 2024, qui a consacré le règne d'Azali, ils ont été précipités dans l'abîme de la défaite, sans autre recours. Sonnés par leur désarroi et plongés dans la désespérance, ils cherchent désespérément une lueur d'espoir dans les ténèbres de la trahison, et ce, par la médiocrité de leur propre guide. Mais qui est cet individu indigne, dont les actes ont porté un coup fatal aux aspirations des Anjouanais, sans même qu'il soit nécessaire de le nommer ?
En 2006, lors de sa campagne présidentielle, ce mythomane avait proféré des serments solennels en public, promettant de respecter la Constitution originelle de 2001, garantissant une large autonomie des îles et une rotation présidentielle équitable. Mais une fois au pouvoir, son égocentrisme démesuré l'a poussé à trahir ses engagements en tripatouillant cette Constitution pour consolider son pouvoir et prolonger son mandat au-delà des limites prévues initialement de quatre ans.
En 2009, il fut le premier à violer la Constitution en la modifiant à ses propres fins, la dépouillant ainsi de toute substance d’autonomie et de souveraineté insulaire, tout en prolongeant son mandat et tentant même d'éliminer la Tournante présidentielle, une disposition cruciale pour maintenir l'équité entre les îles. Ses manœuvres furent contrecarrées sous la pression des institutions internationales, dont l'Union Africaine.
Son appétit insatiable pour le pouvoir se manifesta à nouveau en 2016, lorsqu'il défia ouvertement les fondements constitutionnels de l'Union en tentant de se présenter aux élections présidentielles qui, cette fois, revenaient légalement à Ngazidja-Comore. Cependant, la Cour Constitutionnelle de l’époque l’en empêcha.
Face à une série d'échecs cuisants, il a sombré dans le désespoir et a publiquement scellé une alliance avec le despote Azali, lors d'une journée sinistre au stade Missiri de Mutsamudu, en cette année sombre de 2016.
Cette collusion diabolique a jeté les bases d'un régime tyrannique et illégitime, portant ainsi atteinte aux principes fondamentaux de la Constitution originelle du 23 décembre 2001. Elle a également sapé les aspirations souverainistes pour lesquelles tant d'Anjouanais ont lutté, certains ayant tout sacrifié dans cette bataille, même une part de leur être, et d'autres ayant payé le prix ultime de leur vie.
Alors que l'actuel despote a déjà manipulé la Constitution en 2018 pour consolider son emprise sur le pouvoir, cet individu, cloîtré dans une forme de luxueuse captivité sous la surveillance du tyran en place, a ordonné à son parti de participer activement à la mascarade électorale du 14 janvier 2024. Par cette action, agissant en un véritable stockholmar, il a donné une légitimité de façade à un processus frauduleux qui a foulé aux pieds les droits démocratiques et constitutionnels des Anjouanais.
C’est bien ce mytho-mégalomane qui a intimé à des Anjouanais, par l'intermédiaire de ses acolytes les plus proches, de mettre fin aux actions de boycott actif de la mascarade électorale. Ces actions de boycott représentaient une menace pour lui, car il redoutait de perdre le contrôle sur les souverainistes anjouanais qui, profitant de cette occasion, cherchaient à réclamer les droits constitutionnels qui leur sont injustement confisqués par Azali.
Il est désormais légitime de s'interroger : n'est-il pas le principal ennemi du peuple anjouanais, cet individu atteint du "syndrome de Stockholm", sacrifiant leurs intérêts sur l'autel de son ambition personnelle et contribuant activement à leur asservissement politique, social et économique ?
Cet individu, imbu de lui-même, animé d'une arrogance démesurée et poussé par une cupidité insatiable, se croit investi d'une mission quasi divine, ne reconnaissant d'allégeance qu'à Allah. Par ses agissements abjects, il s'est hissé au rang de principale menace pour le peuple anjouanais. En sacrifiant leurs intérêts sur l'autel de son ambition personnelle, il perpétue leur misère abyssale, les privant ainsi des opportunités politiques, sociales et économiques essentielles à leur épanouissement. Il est impératif de condamner fermement ses manœuvres destructrices et de résister avec détermination à ses tentatives de manipulation et de trahison envers notre peuple."
Découvrez le visage dissimulé derrière les masques, contemplez le mythomane et traître anjouanais, et laissez son nom résonner dans votre conscience.
Pour une société libre, une vie décente, une meilleure espérance pour tous !
Vive l'État souverain d'Anjouan !
Anli Yachourtu JAFFAR
Le 6 février 2024
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