L’hôpital de Hombo accuse IBOUROI SAIDALI de mettre la vie de la population en danger. En effet, à travers son discours suicidaire l'individu offre au
DEMENTI DU POST DE JOHN BALOZ PARU SUR FACEBOOK LE 20 DÉCEMBRE
La direction du CHRI de Hombo a appris avec consternation des propos déformés du dénommé John Baloz sur Facebook incriminant l'établissement. Ces dires, en plus d'être biaisés, mettent potentiellement la vie de la population en danger.
En effet, à travers son discours suicidaire l'individu offre aux citoyens deux choix pour la même fin : Rester mourir à la maison ou périr en mer en voulant être évacué vers Mayotte.
Pour ce faire, le mal-intentioné avance le fait qu'il n'y a pas d'oxygène à l'hôpital alors que c'est plutôt l'unité de production qui est en panne. Or attendant sa réparation qui est en cours l'oxygène du CHRI est acheté à Moheli et donné gratuitement par El-Manrouf à Ngazidja.
Par ailleurs, il y a l'installation d'une grande unité de production d'oxygène réalisée à l'hôpital de Bambao et dont on attend prochainement la mise en marche. Cette dernière destinée à toute l'île a une capacité de production de 60 bouteilles d'oxygène en 24h.
En outre, dans son élan de malveillance, Jonh Baloz, utilisant le CONDITIONNEL, preuve qu'il n'est pas sûr de ce qu'il dit , évoque le cas d'un bébé qui « SERAIT » décédé par faute de lui avoir trouvé une veine.
Ou encore il parle d'un enfant arrivé en arrêt cardiaque et dont on aurait dit aux parents que le cardiologue « dormait ». Ce qui n'est pas vrai car les spécialistes ne dorment pas à l'hôpital n'étant pas en grand nombre. Ils sont toutefois rappelés en cas d'urgence.
Enfin, il est important de comprendre que le sulfureux John Baloz est habité par un esprit revanchard depuis qu'un de ses proches âgé et en fin de vie est malheureusement décédé à l'hôpital où elle est arrivée trop tard malgré les efforts déployés pour la sauver. Il faut savoir que même dans les meilleurs hôpitaux du monde on y meurt. Et ce n'est pas faute de moyens !
Hôpital de Hombo
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