Donc un mois après qu’un homme a été tué dans une caserne, jeté dans une fausse par des militaires, aucune enquête n’est ouverte. Aucune sa...
Donc un mois après qu’un homme a été tué dans une caserne, jeté dans une fausse par des militaires, aucune enquête n’est ouverte.
Aucune sanction, ne serait-ce qu’administrative, ou une petite suspension pour calmer l’opinion. Pourtant, comme un secret de polichinelle, tout le monde connait les auteurs de ces actes ignobles. Au même moment, un accusé échappe de l’hôpital/prison et une enquête est lancée aussi vite qu’une éclaire. Le procureur sort de son mutisme. Des suspects sont mis au gnouf.
De la même manière lorsqu’il y a TENTATIVE de déstabilisation. On dirait que les suspects sont connus á l’avance. En moins de 24h des personnes sont arrêtées. Mais lorsqu’il y a MORT D’HOMME, l’enquête piétine et finira par un non-lieu.
Texte : Ahmed Abdallah Mgueni
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