Le Président Azali : un leadership qui se dessine au-delà de nos frontières Les pseudos opposants comoriens peuvent continuer de c...
Les pseudos opposants comoriens peuvent continuer de clamer la non légitimité
du président Azali. Ils peuvent continuer de mentir en permanence sur la
personne. Mais au-delà de nos frontières un leader panafricain émerge et
s’affirme. L'histoire seule jugera. Après avoir été honnis, aujourd’hui quel
comorien ne reconnait pas le caractère visionnaire et bâtisseur du feu
Président Ali Soilihi Mtsashiwa ?
Le cours des événements montre que le Président Azali est une personnalité
respectée au-delà de nos frontières, un leader pour la communauté africaine et
un modèle donc pour la jeunesse comorienne.
Son action multiforme, son parcours politique, sa vision et les stratégies
qu’il ne cesse de développer pour assurer l’émergence du pays font du
Président Azali Assoumani un leader incontournable aussi bien sur la scène
nationale qu'internationale.
Pour illustrer mon propos, voici quelques actions et initiatives qui font du
Président Azali Assoumani un démocrate avéré, un leader au-delà de nos
frontières, un modèle pour la jeunesse comorienne et un panafricaniste
confirmé.
Au niveau national :
Des "fameux" accords historiques de Fomboni ayant aboutit à la Constitution de
2001 et qui sont venu à bout de la dangereuse tentative d'éclatement de
l'archipel des Comores; quatre îles au destin commun: même religion, même
culture, même langue et des liens de sang pour un peuple uni par le même
destin.
Lesquels accords ont aboutit à la Réconciliation nationale dont il fut le
principal artisan.
Une démarche rejetée par une grande majorité de cela même qui aujourd’hui se
veulent en être les principaux défenseurs. De par ces accords, le Président
Azali a, entre autre, montré à la communauté internationale et au peuple
comorien que la réconciliation d'une nation demeure effective, véritable et
meilleure si elle est l’œuvre de la population directement concernée. Une
simple application du principe universel du « droit des peuples à disposer
d'eux-mêmes". Ça c’est pour l’histoire politique récente.
Au niveau économique et plus près de cette période que nous vivons. Grâce aux
efforts incessants, à la clairvoyance du Président Azali et malgré des chocs
aussi bien climatiques que sanitaire, les fondamentaux de notre économie ont
résisté. Aujourd’hui et malgré des perspectives économiques mondiales pas
toujours optimiste, l’économie de notre pays est debout et bien debout. C’est
le résultat de la rigueur de gestion qu’il a inculqué et qui est mis en œuvre
par le meilleur Ministre des finances de l’histoire indépendante de notre
pays, osons le dire.
De la régularité du versement des salaires des agents de l’Etat au financement
de la construction et de la réhabilitation des routes en passant par le
rétablissement de l’électricité ou la construction d’un hôpital digne de ce
nom et j’en passe, en moins de 5 années, le Président AZALI a démontré qu’il
était vraiment possible que nous prenions notre destin en main, comme les
pères fondateurs de cette nation l’ont toujours voulu. La politique de
l’assistanat et de la diplomatie de la mendicité sont aujourd’hui des
principes caducs. « Tsanga nge wutsangiwa » disait notre Boule national.
Si aujourd’hui, nos partenaires nous respecte c’est pârceque on ne se contente
pas seulement de tendre la main.
La vision est claire, l’horizon est dégagé. Le développement social et
économique du pays n’est plus un vain mot. Il peut être une réalité. Finit les
lois de finances qui se contentaient d’égrener un chapelet de besoin en
fonctionnement sans savoir avec quoi on les financerait. Les lois de finances,
en prévoyant des ressources intérieures pour financer les investissements
structurants, sont élaborées en se fondant sur des ambitions lucides et en
parfaite cohésion avec la vision d’émergence du Chef de l'Etat à l'horizon
2030.
Sur le plan international
L’investiture du Président Azali lors du dernier sommet, virtuel de l’Union
Africaine, comme Vice Président cette auguste institution, un titre
honorifique et surtout historique pour notre pays, vient confirmer ô combien
la personnalité politique multidimensionnelle du Président AZALI est reconnu
par ses pairs du continent et affirme ainsi son leadership au-delà de nos
frontières.
N’en déplaise à ceux qui n’ont jamais pu y parvenir, cela résulte d'une
multitude d'efforts, d'engagements politiques et d'actions prônées par un
dirigeant politique dont le statut panafricaniste ne souffre d'aucune
ambiguïté.
Fervent défenseur de l'acte fondateur de l'Union Africaine actée en 2002 en
Afrique du Sud, et plus récemment, parmi les premiers Chefs d’Etats Africains
à avoir donné son accord à la création de la Zone de libre échange
continentale (Zlecaf), il fait également partie des Chefs d'Etat membres
fondateurs de l'Easbrig, l'actuel Easf, créé en 2004.
Si le Président Azali est, aujourd'hui, désigné par ses pairs pour représenter
l'Afrique de l'Est et l'océan indien dans la plus grande organisation
régionale, cela résulte des efforts consentis, déployés, de la force de ces
engagements, de sa détermination, de son courage et de sa forte expérience
dans la résolution de crise notamment séparatiste Même si de l'autre côté du
mur, d'autres (les opposants) se forcent à trouver d'autres raisons de sa
désignation. Azali Assoumani est, aux yeux de ses pairs, un Président
rassembleur qui a su réconcilier son peuple au service de la communauté
africaine trop souvent miné par des conflits tribaux, religieux,
sociopolitiques...etc.
Une opposition en décadence
Il est normalement naturel que certains lorgnent la magistrature suprême, et
c’est d’ailleurs de ces ambitions personnelles que naissent les alternances
politiques. Des régimes se succèdent et cela 46 ans depuis notre accession à
l'indépendance.
Mais ce qui n’est pas normal c’est de s’opposer sans vision, sans perspectives
d’avenir mais seulement sur le seul motif du « ôte-toi que je m’y mette ». Les
vrais partis politiques ont toujours des divergences d'idée. Mais ceux qui
trouvent de la convergence entre les leurs s’unissent tandis que les autres
s’opposent au premier.
Pour votre gouverne, on peut s'opposer à un Chef d'Etat par rapport à ces
projets mais jamais le renié et/ou le rejeter alors que c’est démocratiquement
qu’il a été choisi par le peuple.
Être républicain et démocrate c'est être capable de respecter les institutions
de la République et ceux qui les représentent tels que les Chefs d'Etat, les
représentants de la nation, les représentants des corps judiciaires, les corps
armés...etc.
Mais cela est un exercice peut être trop difficile pour nos frères de l'autre
rive car cela relève de la moralité de tout un chacun.
Sha Kapvana Kandza
Tadjidine Ben Ahmed
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