CHOSE PROMISE CHOSE DUE « WE CAN DO IT OURSELVES » Depuis plusieurs années, le gouvernement comorien a toujours peiné à s’acquitter de ses d...
« WE CAN DO IT OURSELVES »
Depuis plusieurs années, le gouvernement comorien a toujours peiné à s’acquitter de ses devoirs de paiement des salaires des agents de la fonction publique. Les administrations se sont succédées les unes après les autres, mais aucune d’entre elles n’a pu apporter une solution définitive au problème lié aux arriérés de salaire. Mais tout cela ne sera qu’un lointain et mauvais souvenir.
Car être payé à chaque fin du mois et avoir une hausse de salaire qui paraissait utopique dans un passé récent est devenu la norme aujourd’hui.
Certains seront stupéfaits, d'autres râleront, mais l’argentier de l’Etat continue de lier les paroles aux actes en concrétisant ses promesses.
Dans le sillage de la vision d'Émergence du Président AZALI, se dessine une méthode fondée sur une volonté de sortir le pays des humiliations d’antan.
Fini la mendicité érigée en système de gouvernance. Depuis l’arrivée de CHAYHANE à la tête du Ministère des Finances, le fonctionnaire comorien a enfin sorti l’expression « arriérés de salaire » de son vocabulaire qui vient de retrouver « avancements » un mot tombé dans les oubliettes des budgets de guerre et de la citoyenneté économique.
Le comorien lambda, comprend maintenant aussi grâce à CHAYHANE, que les recettes des sociétés d’Etat et des impôts doivent d’abord servir à répondre aux principales attentes de la population. (Routes, hôpitaux, Education, Sport et bien d’autres).
Cette nouvelle donne, cette détermination, sont une première dans le pays. Une approche prometteuse qui montre bien combien cette nouvelle génération de dirigeants met en avant l’intérêt général contrairement à leurs prédécesseurs.
Comprenons que grâce à cette régularité du paiement de salaire, ce sont 2,7 milliards de francs qui sont versés chaque mois dans l’économie réelle, au profit surtout de la vendeuse de VOLOVOLO, du pécheur de NYUMASHUA, de l’épicier de NGANDZALE etc.
Cette action constitue aussi une bouffée d’air pour l’économie nationale gravement impactée par la crise liée à la pandémie de coronavirus
N’en déplaise, aux personnes animées par la mauvaise foi, c’est grâce à la bonne gestion de nos fonds propres que ce qui paraissait une fiction jadis est devenu une réalité aujourd’hui.
L’heure n’est plus aux polémiques inutiles, ni aux disputes politiques stériles car le comorien veut du concret. C’est ce que nous constatons en ce moment sans pour autant oublier que d'autres le pouvaient mais ne l’ont jamais fait.
Nous en tant que citoyens, nous continuerons de voir le verre à moitié plein et nous encourageons ces initiatives qui nourrissent l’espoir d’un avenir certainement meilleur pour le comorien.
Aujourd’hui, sous la houlette du Président AZALI, CHAYHANE nous prouve et nous démontre encore une fois que « WE CAN DO IT OURSELVES » !
IBRAHIM MMADI
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