Nous venons de traverser une année bissextile qui nous a bien marqués par sa longueur et par sa lourdeur. La sensation de pesanteur a été au...
Nous venons de traverser une année bissextile qui nous a bien marqués par sa longueur et par sa lourdeur. La sensation de pesanteur a été aussi déprimante que personne ne pourrait imaginer. Une année longue de 366 jours avec la charge de ces quatre poids lourds dont chacun est plus gros que l'autre pour un petit pays comme les Comores.
Le monde se trouva devant un virus viril tapa avec toute force l'espèce humaine. La science se trouva impuissante, grands pays sans moyen ni connaissance de la pandémie se livrèrent à la vulnérabilité. Choqués de cette incapacité de leur part sauf que cela est aussi un enseignement clair pour l'homme.
Président, premier ministre, directeur, patron, cadre, ouvrier ou chômeur, tout le monde est vulnérable devant ce minuscule virus invisible. Nous sommes tous rien devant le vrai pouvoir, celui d'Allah. A quoi bon de vouloir perdurer au pouvoir? Pourquoi un peuple peut-il avoir peur d'un être vulnérable?
Oui, les Comores, seules affrontèrent au quotidien deux virus en même temps, pour elles, 2020 est l'année jamais espérer pour un peuple. Entre l'invisible coronavirus pesa sur la santé du monde entier et l' omniprésent, guide de prière de vendredi et de prière mortuaire, pesant au détriment du moral de ses compatriotes; Les Comores sont le pays de l'année #2020, catégorie résistance. N'ayez pas peur‼ Tôt ou tard, notre cher pays va se débarrasser de ces voyous de la République. Cette charge qui pèse lourde moralement et financièrement au contribuable comorien est incompatible avec #2021. Vive les Comores‼
MMADI MALIK HAKIM
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