L'ultime combat face à Azali C'est en tout cas le sentiment partagé par les seigneurs de l'opposition, ils croient dur co...
L'ultime combat face à Azali
C'est en tout cas le sentiment partagé par les seigneurs de l'opposition, ils croient dur comme fer. Mais certains ingrédients peuvent manquer à l'appel.
Peut-être pris en exemple un individu possédant tous les moyens nécessaires pour mener à bien ses projets, mais peut se trouver bloquer en l'absence des phénomènes qui nous dépassent, la correspondance des éléments naturels qui concordent à la faisabilité des choses.
Vous pouvez disposer beaucoup d'argent pour mener à bien un projet, mais si la correspondance des évènements ne sont pas synchronisés, il y a des fortes probabilités que cet argent finisse aux bars et aux culs.
Cependant plusieurs éléments peuvent plaider à cette relative euphorie :
1) l'absence des réalisations substantielles pouvant ébranler les subconscients des individus.
2) l'irrationalité qui a envahi les décideurs.
3 la mésentente régnante au sein de l'équipe dirigeante.
4) L'hypothèse persistante accréditant l'idée selon laquelle le ministre des affaires étrangères, l'homme le plus respecté du gouvernement quitte le navire.
De plus, il a su, grâce à son étroite amitié avec plusieurs autorités du monde, notamment avec son homologue français arrondir les angles, agit avec tact en faisant avaliser les assises nationales, le référendum et l'élection présidentielle au monde entier.
Si ce grand bonhomme quitte le navire, qui d'autre pourra avoir ces larges épaules pour assurer les événements à venir. Déjà une importante activité de démobilisation de certains membres du gouvernement est entreprise.
La stratégie est de leur faire peur, l'objectif visé est de les persuader de quitter le navire , selon eux coulant.
Par Daoud Halifa
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