En opposition avec un modèle idéal de proximité avec le peuple en cette période de crise sanitaire nationale, le gouvernement avait conçu...
En opposition avec un modèle idéal de proximité avec le peuple en cette période de crise sanitaire nationale, le gouvernement avait conçu un plan machiavélique pour accentuer ou lieu d'atténuer cette dernière au détriment de la population.
Mais en croire le nombre de morts qui augmente, le peuple s'en est abstenu afin d'interrompre son machiavélisme au bon vouloir de protéger sa santé au lieu de celle de ses compatriotes.
Un machiavélisme dont une part consistée à créer une psychose nationale à partir d'une campagne de désinformations cachant une manœuvre surmesure d'accumulation conventionnelle de fonds internationaux de prévention contre l'épidémie pour renflouer les caisses de l'État en faillite.
Cette psychose à pousser le peuple comorien à ne vivre rien que d'attendre venir une maladie hautement dangereuse afin que la duperie puisse déclencher la phase deux, une autre étape de cette dernière, s'agissant de l'installation d'un climat de terreur.
Ce n'est d'autre que l'entrée en scène de la violence, les bavures policières légitimes. Les forces de l'ordre aux commandements de son autorité suprême devaient installer un climat de répression, une coutume en vogue depuis 2016.
Des commandements susceptible d’agir pour une éventualité de propagation de virus la nuit, par des interpellations citoyennes suite à un théâtre à but lucratif lequel une part de cet argent serait utilisé pour maintenir les rênes du pouvoir par les armes.
Plutôt que d'anticiper et de prévenir les conditions sécuritaires, l'argent de la banque mondiale et du fond monétaire international lequel la République doit rembourser est investi dans une mise en scène de chasse aux émeutes, une chasse aux sorciers.
Cette mise à mort des émeutes ou de sorciers alors le coronavirus s'en charge déjà, était programmé par l'utilisation de gaz lacrymogènes et d'armes à feu, même en ce mois sacré de ramadan, témoignent la faillite d'une stratégie pour un régime moribond à court d'argent.
Les autorités ayant négligé le peuple en instrumentalisant la pandémie, ont une bonne visibilité sur ce qui va se dérouler excluant la survie d'une partie de la population comorienne.
Ils ont les fonds nécessaires et la jurisprudence adaptative pour faire régner le plus longtemps possible leur pouvoir controverse au-delà de cette crise sanitaire nationale, et ceux qui ont et qui vont périr seront offerts en offrande pour le maintien de la République.
J'appelle la pseudo opposition comorienne, la fictive société civile à revoir leur mission et qu'« essayer de comprendre, c’est déjà excuser ».
Cordialement,
Salec Halidi Abderemane
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