Toujours y croire, jusqu'au bout, c'est ça gagner ! Pourquoi sommes-nous parfois défaitistes ? Peuple Comorien !! Nou...
Toujours y croire, jusqu'au bout, c'est ça gagner !
Pourquoi sommes-nous parfois défaitistes ?
Peuple Comorien !!
Nous abandonnons parfois "trop tôt", certainement pour nous protéger, pour nous préparer à la déception, à la peine, à la défaite. Par peur de s'investir trop dans une cause que l'on considère comme "perdue d'avance". Alors qu'en fin de compte, un combat, même perdu, peut nous apporter beaucoup, nous apprendre et nous faire grandir, SI -et seulement si- nous nous sommes battu jusqu'au bout ! Alors qu'en abandonnant trop tôt, on a plutôt tendance à dégrader notre estime de soi. Car c'est finalement très souvent dans l'adversité que l'on progresse dans la connaissance que nous avons de nous-même, dans la confiance que nous avons en nous, et que l'on devient ainsi plus fort .
Il faut toujours partir du principe que rien (ou presque) ne doit être considéré comme "perdu d'avance". Que tout est réalisable. A partir du moment où l'on y croit, que l'on a la foi en soi et que l'on fait le nécessaire pour que cela fonctionne, c'est déjà de toute façon en grande partie gagné. C'est simplement le sens du mot "gagner" qui doit peut-être évoluer ? Quand j'étais jeune, je faisais des concours de management . Un de mes meilleurs souvenirs est un jour où j'ai été éliminée ! Pourquoi ? Parce que ce jour-là, j'ai fixé des objectifs plus hautes que d'habitude, et surtout, j'ai réussi à amener mon adjoint dans ses objectifs , alors qu'il n'était pas du tout motivé . Ce jour-là, j'ai gagné ! Très clairement, pas le concours. Mais j'ai grandi, j'ai avancé, j'ai franchi un cap.
Pourquoi faut-il toujours y croire ?
Les exemples de situations "très très mal engagées" sont nombreux. Mais ceux où la roue tourne en un rien de temps également ! Un des plus "populaires" est la victoire de l'équipe de France de football au Championnat d'Europe en 2000. Un but à la toute dernière minute et le match est relancé et c'est la victoire quelques instants plus tard. A quelques minutes de la fin dans cette situation, on se dit "c'est foutu, plus la peine de se battre, ça ne servira à rien". Et puis la preuve que si : nous avons ici un renversement de situation très improbable, mais bien réel ! Ce qu'il faut retenir de cet exemple n'est pas la "victoire" en tant que telle, mais la combativité qui a permis d'y croire jusqu'au bout du bout. Preuve que tant que le "coup de sifflet final" n'a pas retenti, en sport comme dans la vie, nous devons continuer d'y croire !
Et si la situation ne tourne pas favorablement alors qu'on y met toutes nos tripes et notre énergie ? Ce n'est pas si grave. On s'est battu , on en tirera forcément du positif. J'ai appris que même dans le chaos il peut y avoir du positif, et que si l'on y croit, si l'on garde l'espoir quoi qu'il arrive, alors on est TOUJOURS gagnant .
Alors mes chers compatriotes restons unis courageux et fort car un combat n’est jamais perdu avant la mort .
Bien sur on le sais que c’est pas évidant mais notre pays est entrain de tourner une page celle de la population touts nos hommes politique ont peur de l’après AZALI car ils comprennent très bien que rien ne sera plus comme avant . ils savent que les générations future n’accepteront plus de subir . ils savent que nos petits frères et sœurs et nos enfants vont diriger eux même leurs pays.
C’est pour cela que personne de la classe politique n’ose pas se déclarer leader car ils ne sont pas prêt à gouverner un pays de droit
Pas prêt à appliquer les vrais institutions
Pas prêt à diriger un peuple révolutionnaire
Pas prêt à être exemplaire et patriote
Mais un jour viendra qui vivra verra fin de citation...
Hamidou Mhoumadi
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