France - L’équipe de football bressuiraise du Comores FC, qui a brillé en coupe de France cette année, continue son ascension. Une fête é...
France - L’équipe de football bressuiraise du Comores FC, qui a brillé en coupe de France cette année, continue son ascension. Une fête était organisée samedi, pour soutenir le club.
L’équipe du Comores FC, créée il y a trois ans, accumule les succès sur le terrain. Son récent parcours en coupe de France a de nouveau démontré la montée en puissance de ce club, malgré une sèche défaite (0-6) contre Feytiat (R1), au 5e tour.
Quelques mois après leur accession à la D3 et leur victoire en Coupe Saboureau, les partenaires d’Ibrahim Fahardine, alias « Bastos », continuent donc de structurer le club avec peu de moyens. La subvention récemment allouée par la Ville est un plus apprécié. Mais l’association s’active aussi par ses propres moyens.
La fête organisée samedi dernier, dans la salle des fêtes de Saint-Porchaire, s’inscrivait dans cette logique. Deux fois par an, cette initiative permet de récolter des fonds précieux, « pour aider les deux équipes du club », souligne Ibrahim Fahardine. Les traditions comoriennes ont été mises à l’honneur.
Dans l’après-midi, « les mamans ont dansé le wadaka et le mbiwi. Les garçons, eux, ont dansé le sembe et le chigoma », résume « Bastos ». La soirée Toirab a été animée par des musiciens. Le Comores FC va pouvoir se tourner vers ses nouveaux objectifs : conserver la première place en championnat et ainsi monter en D2. Et réaliser un exploit le 19 janvier face à Saint-Jean-d’Angély (R1), en coupe de Nouvelle-Aquitaine. ©Ouest France
Dans l’après-midi, « les mamans ont dansé le wadaka et le mbiwi. Les garçons, eux, ont dansé le sembe et le chigoma », résume « Bastos ». La soirée Toirab a été animée par des musiciens. Le Comores FC va pouvoir se tourner vers ses nouveaux objectifs : conserver la première place en championnat et ainsi monter en D2. Et réaliser un exploit le 19 janvier face à Saint-Jean-d’Angély (R1), en coupe de Nouvelle-Aquitaine. ©Ouest France
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