Dans un contexte où notre pays organise à Paris une conférence avec nos partenaires au développement coprésidée par son excellence Monsie...
Dans un contexte où notre pays organise à Paris une conférence avec nos partenaires au développement coprésidée par son excellence Monsieur Azali Assoumani et son excellence Monsieur Emmanuel Macron, des personnes mal intentionnées résidant en France se sont pris à un membre de la délégation venue en France défendre le Plan Comores Emergentes.
La violence et les humiliations dont a été victime M. Fouad Goulam, Commissaire au Plan, le 30 novembre, sont le contraire de ce que nous sommes, la négation absolue de nos valeurs.
S'en prendre à un fonctionnaire, c'est s'attaquer à l'Etat, à notre culture et à ce qui fait de nous une Nation pacifique.
Le parti de la Convention pour le Renouveau des Comores condamne sans réserve ces actes de violence. Parce qu'ils ternissent l'image de paix qui caractérise la communauté comorienne de France et brisent le modèle républicain du vivre ensemble.
Nous saluons le gouvernement français d'avoir pris en compte la gravité des faits en interpellant les auteurs présumés.
Nous louons également l'action du Chef de la diplomatie comorienne dans la défense de l'Etat et du fonctionnaire après son dépôt de plainte contre les malfaiteurs.
Le parti CRC rejette catégoriquement les actes de nature à salir l'image de notre pays. Rien ne peut justifier la violence. Il faut la combattre avec courage et détermination.
Le secrétariat National du Parti CRC
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