Ils étaient 13 candidats à la présidentielle dont 12 de l'opposition. Selon Houmed Msaidié, directeur de campagne de la Mouvance prés...
Ils étaient 13 candidats à la présidentielle dont 12 de l'opposition. Selon Houmed Msaidié, directeur de campagne de la Mouvance présidentielle, 1 des 12 candidats de l'opposition combinait campagne électorale et fabrication de bombes.
En effet, les élections du 24 mars ont été le théâtre de plusieurs incidents dont des urnes cassées et des bureaux de vote saccagés. A qui fait référence Houmed Msaidié dans son message publié sur les réseaux sociaux? Pour rappel, 2 des 12 candidats sont sous les viseurs du pouvoir, à savoir, Campagnard et Dr Achmet.
Ce dernier aurait déjà quitté Ngazidja après que plusieurs de ses lieutenants ont été arrêtés. Quant à Mohamed Soilihi, après une dizaine de jours de garde à vue suite à sa déclaration de président du CNT, le héros national Campagnard a été libéré mais reste sous contrôle judiciaire. Il est sorti du bureau de juge la tête baissée avec une déclaration papier à qui il reconnait la réélection d'Azali et se désolidarise du CNT, dont il était le président. Aujourd'hui, il est accusé de trahison par certains de ses partisans.
«Un candidat à la présidentielle, membre éminent du fameux Cnt, combinait campagne électorale et fabrication des bombes. Plus surprenant une chancellerie, certainement par naïveté, s’est crue obligée de se montrer avenante vis à vis de lui et les siens!»
En effet, les élections du 24 mars ont été le théâtre de plusieurs incidents dont des urnes cassées et des bureaux de vote saccagés. A qui fait référence Houmed Msaidié dans son message publié sur les réseaux sociaux? Pour rappel, 2 des 12 candidats sont sous les viseurs du pouvoir, à savoir, Campagnard et Dr Achmet.
Ce dernier aurait déjà quitté Ngazidja après que plusieurs de ses lieutenants ont été arrêtés. Quant à Mohamed Soilihi, après une dizaine de jours de garde à vue suite à sa déclaration de président du CNT, le héros national Campagnard a été libéré mais reste sous contrôle judiciaire. Il est sorti du bureau de juge la tête baissée avec une déclaration papier à qui il reconnait la réélection d'Azali et se désolidarise du CNT, dont il était le président. Aujourd'hui, il est accusé de trahison par certains de ses partisans.
«Un candidat à la présidentielle, membre éminent du fameux Cnt, combinait campagne électorale et fabrication des bombes. Plus surprenant une chancellerie, certainement par naïveté, s’est crue obligée de se montrer avenante vis à vis de lui et les siens!»
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