Où se repose l’affaire de la rébellion dans la médina de Mutsamudu ?

DANS LES COULISSES DU POUVOIR Où se repose l’affaire de la rébellion dans la médina de Mutsamudu ? Les jeunes rebelles étaient appré...

DANS LES COULISSES DU POUVOIR

Où se repose l’affaire de la rébellion dans la médina de Mutsamudu ? Les jeunes rebelles étaient appréhendés à Mayotte et c’est quoi la suite ? Ce silence n’est pas complice ? Le plus important c’était de destituer le Gouverneur Salami avec la complicité d’Abdallah Ibrahim, nouveau gouverneur nommé. 

Le vrai coupeur de la main d’Ali Radjabou a été cité en audience, au parquet de Moroni, le jour où des innocents ont été frappés de lourdes peines... comment cette situation se repose glacialement sans qu’aucune conscience se réveille ? Quand est-ce que Fatahou et son Mentor seront entendus, eux qui ont confirmé devant la presse qu’ils savaient depuis quelques temps que la barbarie allait se produire... ? Passons.

Quad est-ce que la vente des passeports comoriens par le pouvoir d’Azali et CRC va cesser... ? Nous tous savons bien que la loi cause de l’emprisonnement de l’ancien ministre Ibrahim SIDI suit toujours sont court et des milliers de passeports se vendent en orient, comme des fruits et légumes... Quand est-ce que les comoriens connaîtront des choses sur le déficit de la banque centrale… Les caisses de l'État sont vides. La dette intérieure explose. 

En quarante et quatre ans d’indépendance le colonel Azali a gouverné onze ans. C'est-à-dire chacun des autres neuf présidents comoriens, a fait trois à quatre ans de pouvoir. Et depuis quarante et quatre ans d’indépendance, c’est la première fois que la "réserve statutaire" à la Banque Centrale des Comores, reste niveau zéro. Et ça personne n’en parle. A part les cinq milliards dépassés… pris dans ce compte, une autre dette suit derrière. Fonds épuisé. Passons.

Chaque mois une grande société d’Etat... qui assurait le quotidien des comoriens, perd quatre milliards et demi de fc. Un moyen de privatiser cette société... en attendant les dessous de tables.

Par Said Yassine Said Ahmed