Msa Ali Djamal, fidèle à lui-même. Cohérent et persévérant. Quand en 2008, il me parlait d'Azali, je le considérais comme un illuminé...
Msa Ali Djamal, fidèle à lui-même. Cohérent et persévérant. Quand en 2008, il me parlait d'Azali, je le considérais comme un illuminé, quand en 2011 il me présente Azali, j'étais juste curieux de rencontrer un ancien président, quand en 2014, il me demande de jouer ensemble les "attachés de presse" d'Azali, j'étais sceptique.
Toujours déterminé, pour moi, il est le premier azaliste. Quand il étais directeur de l'Ortc, il se tuait à la tache, avait des grandes ambitions pour cette chaine nationale et son rôle dans le développement du pays.
A Ortc il y a des talents, des journalistes et des techniciens compétents, travailleurs. Djamal se battait jour et nuit pour eux, pour faire fonctionner cette boite, malgré l'acharnement de son ministre de tutelle qui voulait sa peau dès le premier jour.
Il se battait contre vents et marées, contre ceux qui croient que Ortc c'est leur pré carré, contre le mépris de certains barons du pouvoir. Pendant tous ce temps là, il est resté un azaliste convaincu. Et quand il a été limogé sans ménagement, ça n'a pas ébranlé sa conviction azaliste.
Maintenant on peut juger son engagement injuste ou mal, mais il est un homme de conviction, il fait bien la communication du pouvoir car il est convaincu que ce qu'il fait est bien. Ça s'appelle de la conviction. Il n'y a pas chez lui de l'hypocrisie, juste le sentiment profond qu'il est dans le bon chemin, sentiment que je ne partage pas toujours mais que je respecte.
Par Youssouf Ibrahim (gauche, photo)
Toujours déterminé, pour moi, il est le premier azaliste. Quand il étais directeur de l'Ortc, il se tuait à la tache, avait des grandes ambitions pour cette chaine nationale et son rôle dans le développement du pays.
A Ortc il y a des talents, des journalistes et des techniciens compétents, travailleurs. Djamal se battait jour et nuit pour eux, pour faire fonctionner cette boite, malgré l'acharnement de son ministre de tutelle qui voulait sa peau dès le premier jour.
Il se battait contre vents et marées, contre ceux qui croient que Ortc c'est leur pré carré, contre le mépris de certains barons du pouvoir. Pendant tous ce temps là, il est resté un azaliste convaincu. Et quand il a été limogé sans ménagement, ça n'a pas ébranlé sa conviction azaliste.
Maintenant on peut juger son engagement injuste ou mal, mais il est un homme de conviction, il fait bien la communication du pouvoir car il est convaincu que ce qu'il fait est bien. Ça s'appelle de la conviction. Il n'y a pas chez lui de l'hypocrisie, juste le sentiment profond qu'il est dans le bon chemin, sentiment que je ne partage pas toujours mais que je respecte.
Par Youssouf Ibrahim (gauche, photo)
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