H.S GAZON EST TUE, LES AZALISTES D’IKONI VEULENT DIVISER LA CITE Et pourtant rien de difficile. Il a suffit de respecter les familles...
H.S GAZON EST TUE, LES AZALISTES D’IKONI VEULENT DIVISER LA CITE
Et pourtant rien de difficile. Il a suffit de respecter les familles des victimes, la ville d’Ikoni et les comoriens… tous perdant d’un enfant, d’un frère. Un être important qui n’a même pas pu savourer ne serait qu’en morceau, la rose de ce monde à cause de sa vie ôtée de lui par quelques unités des forces de l’ordre.
Quelques partisans du pouvoir en place, autrement dit proches d’Azali, originaires de la ville d’Ikoni, par service commandé du chef de l’Etat, du ministre de l’intérieur, de celui de la justice… veulent plonger Ikoni dans le chaos. C’est une histoire de Banderoles. Personne n’ignore le déchirement et l’indignation des ikoniens engendrés par l’assassinat de leur frère et fils Hamada Said dit Gazon par les forces de l’ordre. Comme tout le monde, les ikoniens attendent une enquête…pour que l’on sache qui est le bourreau de Hamada Gazon, et de la dizaine de jeunes grièvement blessés.
Pour exprimer leur exaspération, les enfants d’Ikoni ont hissé des banderoles marquant « NON au colonel Azali sous les murs d’Ikoni. « Azali et son gouvernement, sont indésirables à Ikoni. Que la lumière sur le massacre du 09/12/2018 soit faite et les coupables condamnés ». Une des banderoles porte cette écriture. Et moment où le pouvoir est d’une priorité inégale chez les courtisans du chef de l’Etat à Ikoni, une opération de chamboulement, a été mise en route.
Des jeunes parmi les acteurs de l’opération douane pour y récupérer les voitures, et qui les ont sécurisées sur Ikoni, qui encore ont jeté les pierres aux gendarmes, sont au service du pouvoir, notamment du ministre de l’intérieur. Ils sont montés par les courtisans du pouvoir à Ikoni, suite à plusieurs réunions se déroulant dans des salons de quelques uns des CRCiens de la cité.
Ces jeunes délictueux, ont vite changé d’orientation, pour servir le pouvoir. Violemment ces jeunes se mettent à arracher les banderoles en semant aussi la terreur... Les courtisans du pouvoir qui veulent à tout prix faire venir Azali à Ikoni pour danser en ce moment de deuil sur le sol martyrisé, dressent les jeunes ikonines les uns contre les autres, en cultivant la haine entre enfants de la cité. Le pouvoir d’Azali a tabassé Wadaane, lui a fracturé des membres, Azali est parti danser à Mbeni.
Le pouvoir d’Azali a monté une fausse rébellion à Mutsamudu et marché sur l’honneur de l’île, Azali est parti danser dans l’île. Le pouvoir d’Azali a emprisonné à vie les enfants de Moroni, Azali est parti danser au foyer des femmes de Moroni. Des danses aux effets pervers, exécutées pour défis et mépris. Cette fois-ci, c’est une histoire d’une vie volée. Le pouvoir d’Azali a assassiné Hamada Said alias Gazon et blessé une dizaine des jeunes, Azali ne dansera pas à Ikoni.
Seulement il peut y mettre les pieds une fois qu'enquête sera établie et que l’on sache qui a tué Gazon. Les courtisans du pouvoir en place, ceux qui rapportent les fausses informations à Azali, surtout des informations mensongères de la ville d’ikoni, en échange de poids, la ville les a à l’œil.
Des adulateurs qui œuvrent en coulisse. Et tout se sait. Un clan qui dresse les enfants de la cité, les uns contre les autres, et qui récupèrent les fouteurs de troubles et les lie aux sangs familiaux avec quelques membres de CRC de la ville... donc un discours de division et de trouble. Ces manœuvres, nous imposent la conviction que si Azali dénigre la ville d’Ikoni avec son silence complice... est que ces natifs lui ont garanti le contrôle or que c’est faux. Azali n’est aucunement désiré à Ikoni... Hamada Gazon n’est pas un tremplin... et que son entrée dans cette ville est catastrophique.
Par Said Yassine Said Ahmed
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