Si l'on veut devenir nostalgique, il n'y a qu'une solution : aspirer à changer ceux qui font avancer bien les choses en pr...
Si l'on veut devenir nostalgique, il n'y a qu'une solution : aspirer à changer ceux qui font avancer bien les choses en prétextant que de nouveaux venus sauront mieux les faire.
Et bien non, je ne veux pas être nostalgique par erreur de lucidité comme ce fut le cas de certains nombre de pays qui regrettent leur entêtement d'humeur.
Je suis convaincu que le Président Azali Assoumani veut profondément et peut faire de notre archipel un exemple de réussite économique fulgurante et un lieu d'attractivité touristique où il fait bon vivre.
Comme le Singapour, on peut réussir à faire de ce pays un centre économique régional, attiré par des capitaux étrangers et de plein emploi.
Comme le Rwanda, on peut faire de notre pays une économie tournée vers les produits de hautes technologies et génératrice des pôles de croissance.
Le 24 mars, on ne change pas une équipe qui gagne.
Le 24 mars, on lui donne les moyens dès le premier tour de faire de notre pays un miracle africain.
Par Msa Ali Djamal
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