Une conscience coupable n’a pas besoin d’un accusateur. Peut-on dire que dans l’opération Sambi, Fahmi et Azali, cette expression a trouv...
Une conscience coupable n’a pas besoin d’un accusateur. Peut-on dire que dans l’opération Sambi, Fahmi et Azali, cette expression a trouvé sa place ? Fahmi Said Ibrahim, honoré par l’ancien président des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, en le nommant Ministre des affaires étrangères… apparait en charade dans l’existence de son ancien mécène.
Chef d’un petit parti politique, au nom du PEC (Parti pour l’Entente des Comores), Fahmi S.I s’est vu offrir un escarbot pour la cime, donc investi candidat aux dernières présidentielles des Comores, malgré son échec. Fahmi Said Ibrahim, ministre des affaires étrangères de Sambi période de la citoyenneté économique deal écornant la vie de son ancien président. Passons.
Au sujet de l’oppression dans laquelle son ancien guide se trouve, le silence de Fahmi S.I raison plus fort qu’un bruit de canon. Un peu à la Mitterrand du petit parti socialiste et Georges Marchais du grand parti Communiste. Petit parti socialiste fusionné avec le grand parti Communiste pour but, enterrer ce dernier. Et Mitterrand du petit PS, a pu s’arracher le chemin et devenu candidat aux présidentielles… à la place de Georges Marchais du grand PC.
Bonne leçon à retenir. Les seules différences, est que le parti Juwa ne s’est pas éteint au bénéfice du Pec et aussi Fahmi ne rayonne pas au détriment de Sambi… Donc au centre des interrogations, on se trouve, suite au silence de Me Fahmi Said Ibrahim, un avocat de grand renomme, un politicien du moment… Un silence inexact face à la situation Sambi-Azali qui mérite son encre, son cerveau et sa respiration buccale. Passons.
Bonne leçon à retenir. Les seules différences, est que le parti Juwa ne s’est pas éteint au bénéfice du Pec et aussi Fahmi ne rayonne pas au détriment de Sambi… Donc au centre des interrogations, on se trouve, suite au silence de Me Fahmi Said Ibrahim, un avocat de grand renomme, un politicien du moment… Un silence inexact face à la situation Sambi-Azali qui mérite son encre, son cerveau et sa respiration buccale. Passons.
L’homme honoré et soutenu par l’homme, serait le premier défenseur ou assistant de l’homme. Oui l’enturbanné qui l’a couvé pendant une importante partie de sa vie, notamment politique. On s’étonne aussi car Fahmi était ministre de Sambi, lors du régime à la citoyenneté économique. Avec ce silence d’église que le candidat du parti Juwa aux dernières présidentielles, adopte face à cette situation, l’opinion le soupçonne d’une anesthésiste à Sambi. Anesthésie pour mettre fin au souffle de cet homme, dont l’existence fait fric et fait titres aux sorciers politiques et judiciaires.
Des arguments ne tenant pas debout… « Je ne suis pas prêt de travailler avec Mamadou et Mouigni, qui m’ont volé la victoire et qui ne sont pas honnêtes »… Mais dans quelle opposition que Fahmi se trouve-il aujourd’hui avec son silence radio ou sera-t-il parmi les heureux du climat actuel ?
Des arguments ne tenant pas debout… « Je ne suis pas prêt de travailler avec Mamadou et Mouigni, qui m’ont volé la victoire et qui ne sont pas honnêtes »… Mais dans quelle opposition que Fahmi se trouve-il aujourd’hui avec son silence radio ou sera-t-il parmi les heureux du climat actuel ?
Par SAID YASSINE Said Ahmed
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