LETTRE OUVERTE AUX JOURNALISTES ET AUX USURPATEURS DE CE NOBLE MÉTIER INSPIRÉ PAR LE POST DU GRAND FRÈRE DAOUD HALIFA QUI APPELLE LE GOUV...
Je m’adresse ici aujourd'hui, à nos journalistes et aux usurpateurs de ce noble métier, pour leur dire que trop c’est trop. Je voudrais dire ici à ces journalistes que l’image de leur pays n’a pas de prix. Elle n’est pas égale à ce que vous appelez acharnement contre cette meuf de Faiza, ou la confiscation du matériel de Abdallah Agwa et encore moins le gifle donné au journaliste de hayba FM.
Je ne cautionne pas de tels actes, mais je dis ici que vous le vouliez ou non, vous avez une lourde responsabilité devant l’histoire. Vous avez refusé d’arrêter de faire votre travail avec passion, et vous voilà aujourd'hui entrain d’écrire une page noire de votre carrière en continuant à montrer au monde entier que notre pays est maudit et que la situation est intenable. Sachez que vous ne rendez pas service à ce beau pays et nous avons le droit de le dire.
Oui, vous pouvez dénoncé les abus du pouvoir, c’est de votre droit, mais aller jusqu'à porter plainte à l’extérieur parce qu’un journaliste qui a écrit un article, prévenant le monde entier que les Comores organisent le’’ référendum de tous les dangers,’’ et que le lendemain, nous nous trouvons avec un militaire coupé la main avec une machette, et que c’est la même journaliste qui informe l’opinion en diffusant une vidéo, logiquement, il y a lieu d’ être entendu comme témoin.
Je l’ai dit dans un post que Faiza n’est pas une simple journaliste mais vous avez témoigné partout qu’elle est une icône, alors, on peut conclure que ses investigations sont à prendre au sérieux. Sans baisser la tête, personnellement, je condamne cette manière de « tuer » son pays, et l’histoire va vous juger. Oui, nous sommes contre les accusations gratuites contre Faiza mais elle doit aussi accepter les critiques car partout dans le monde, les journalistes sont [next] persécutés. Et il n y a que les vrais journalistes qui résistent à cette chasse à l’homme.
J’ose espérer que vous allez prendre conscience du coup dur que vous donnez à votre pays et que vous allez changer vos fusils d’épaule en disant de biens de votre pays. En ce qui concerne le Jeune journaliste d’Ouzioini, la démarche qu’il a fait est bonne mais sur le fond, on sait bien pour quoi il l’a fait : c’est un proche de Sambi, il est aussi le neveu de l’ancien collaborateur de Sambi monsieur Ibrahim Mhoumadi Sidi qui en mandant de dépôt à cause de l’affaire du détournement des milliards de la citoyenneté économique.
Donc, ça veut tout dire. Journalistes Comoriens, honorez votre métier, arrêtez l’esprit familiale et partisane visible si vous voulez rester crédibles aux yeux des Comoriennes et Comoriens.
MOHAMED SOULE ALI (TCHAYI)
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