L'affiche n'est jusqu'à maintenant plus claire et surtout les deux termes ne sont pas compatibles. Nous, autres, qui cherchon...
L'affiche n'est jusqu'à maintenant plus claire et surtout les deux termes ne sont pas compatibles. Nous, autres, qui cherchons à comprendre, peut-être, nous finirons sans jamais comprendre l'Imam Messie.
Le mot "imam" qui veut dire l'héritier du prophète Mohammad, est accommodé avec le mot "Messie" qui veut dire Masih (chrétien). Pouvoir sans savoir est fort dangereux, non seulement que l'on est amené à creuser sa propre tombe sans le savoir, mais aussi les amis continuent à applaudir car la possession du pouvoir corrompt le libre jugement de la raison, dit Emmanuel Kant.
Ils sont tous deux porteurs de livre divin que chacun, malgré les interprétations des uns contre celles des autres, obéisse à la lettre le message divin devant la lumière, contrairement au Messie des Comores avec l'esprit perdu dans les ténèbres, visage sombre, coran dans les mains, hagard du poids du pouvoir obtenu sans directives principales. Son Messie est sans nul doute M. Ali Bazi Selim, Saïd Hassane Saïd Hachim, Saïd Mohamed Sagaf, Ali Mroudjaé, Ali Mlahaïli, Damir Ben Ali, Saandi Assoumani, Faïza Soulé et tous les autres membres initiateurs des assises nationales. On nous véhicule l'impression que l'initiative est bel et bien la direction de l'Imam Messie pourtant elle n'est qu'une manœuvre de la politique d'antan.
Hommage alors au président de la cour suprême M. Cheickh Salim Saïd Athoumane de sa résistance pour le droit et pour faire barrage à la tyrannie. Il n'y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des lois et avec les couleurs de la justice, dit Montesquieu. Vous êtes alors le champion en final car vous rendez à votre pays un service que ni les générations présentes ni les générations futures, personne n'oubliera votre acte de bravoure. Un grand BRAVO!
Hommage alors au président de la cour suprême M. Cheickh Salim Saïd Athoumane de sa résistance pour le droit et pour faire barrage à la tyrannie. Il n'y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des lois et avec les couleurs de la justice, dit Montesquieu. Vous êtes alors le champion en final car vous rendez à votre pays un service que ni les générations présentes ni les générations futures, personne n'oubliera votre acte de bravoure. Un grand BRAVO!
HAKIM MMADI MALIK
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