Au lendemain de la déroute électorale subie de plein fouet par le régime du colonel PRÉSIDENT AZALI ASSOUMANI , en réplique de son référ...
Au lendemain de la déroute électorale subie de plein fouet par le régime du colonel PRÉSIDENT AZALI ASSOUMANI , en réplique de son référendum constitutionnel du 31 juillet 2018 ,le réveil fût mouvementé; très sérieusement mal mené par les électeurs, sur tout l'étendue du territoire national avec un taux de participation dérisoire se limitant à25% confirmé par les observateurs aussi bien nationaux qu'internationaux unanimement d'accord sur le peu d'intérêt suscité par l'évènement .
Un constat qui atteste cette réalité irréfutable sur l'impopularité hallucinante du colonel, et démontre de surcroît la maturité du peuple comorien qui est resté droit dans ses bottes imperturbable malgré le déchaînement de la machine répressive du pouvoir : intimidations menaces provocations arrestation arbitraire .Depuis l'annonce des résultat le pouvoir ,au de là cuite électorale traîne sa gueule de bois à travers le pays à la recherche du parfait bouc-émissaire incapable d'assumer sa défaite et d'en tirer les conséquences qui s'impose en pareille circonstance .
Cet aspect là les parti JUWA de l'ex raïs Amhed ABDALLAH Mohammed SAMBI sur cet aspect la, le parti Juwa semble être le coupable idéal. L'artisant de l'échec accablant du régime qu'on voudrait faire endosser toute la responsabilité de la débâcle du pouvoir. Ainsi le parti juwa doit subir la foudre de Satan depuis lors une vague d'arrestation s'abat dans tout le pays .Moheli -ANJOUAN grande COMORES la situation se suit et se ressemble les têtes de gondole du parti juwa sont pourchassées , martyrisées et emprisonnées sans aucune raison réelle le pays vit des scènes de terreur noires surréalistes il devient le théâtre quotidien de multiple exactions de plus en plus abominable et inhumaine. Partout c'est la désolation et le chaos qui dominent .
Au-delà de ce que subit l'opposition en général [next] Comorienne dans leur quotidien ou les scène d'agression font - légions quelques rescapés de cette chasse aux sorciers ont fini par trouver refuge au près des Nations-Unies et demeure sous la protection de cette institution jusqu'à nouvelle ordre notamment , les élus de la nations activement recherché. Dans le lot aussi des journalistes qui sont pour la plupart soit limogés déclasser ou tout simplement menacée de mort sous prétexte qu'ils relatent l'information sans la déformer refusant toutes instrumentalisation par soucis d'éthique et de déontologie par un régime qui a perdue toutes notions de la raison . La brutalité des actes perpétrés par celui-ci , la violence des mots proférés, la barbarie des gestes réalisés appellent à un examen de conscience individuel et collectif.
Dans quelle société vivons-nous au 21e siècle le pays marche sur la tête. Peut on tout se permettre sous prétexte que l'on dispose de l'appareil de l'état ? Le régime du colonel Azali a franchi le Rubichon il doit être stoppé net et sans attendre. Il saccage les règles et les principes sacro/saint piétine les valeurs et les traditions ancestrales, banalise les textes fondateurs les plus sacralisé, démantelé les institutions structurantes gages d'une démocratie assumées.
Au nom du droit d'ingérence humanitaire j'en appelle à l'intervention urgente et déterminante de la Communauté internationale garante des accords cadre de fomboni de 2001; gages de stabilité, de paix sociale et de cohésion.
Je dénonce avec véhémence l'ingérence flagrante et toxique de certaine puissance régionale exportatrice de conflit confessionnel et instigateur des guerres religieuses qui sèment le chaos à l'instar du Yémen . J'en appelle à la vigilance de notre peuple et à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation pour faire barrage au despotisme au népotisme et au faschisme rampant qui se profile à l'horizon .
KAMAL ABDALLAH
Union de l'opposition en France
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