POLITIQUE ET PASSION ? Je n'accuse pas la Photo même si je la pose ici en illustration. Avec les proximités de nos familles et le...
POLITIQUE ET PASSION ?
Je n'accuse pas la Photo même si je la pose ici en illustration. Avec les proximités de nos familles et les représailles de celles-ci, se serrer les mains, même si après embrouilles, n'est pas interdit. Toutefois au moment où se serrer la main est sacrée, il faut réunir des conditions...au cas contraire, soit tout le monde se ment, soit nous autres sommes lâches.
La poignée de mains accompagné de fous-rires entre le Secrétaire général du Parti Juwa, Mr Ahmed Hassane El-barwane, et le Ministre de l’intérieur Mr Mohamed Daoud Kiki, trouble quelques cieux bâtis forts. Oui comme nous a-t-il sorti cette expression de Roger Martin du Gard : " Sur le champ de bataille, exactement comme sur le stade, les hommes qui se battent sont les joueurs de deux équipes rivales : ils ne sont pas des ennemis, ils sont des adversaires.”Mais cette expression est faible pour justifier une circonstance.
Oui cela devrait être valable, si ceux qui sont dits n'ont pas été dits. Si certains traitements diaboliques et humiliants n'ont pas été réservés aux [next] siens. S'ils étaient traités comme autorités politiques, moins des humains. Comme si certains propos ne sont pas tombés d'une bouches ou des bouches. Nous ne sommes des fruits hors saisons. Même le pays le plus civilisé au monde, le plus démocrate disons, la France, les corrections de notoriété se donnent. Nous avons vu en 1974, au cours d'un conseil de Ministre Valéry Giscard d'Estaing, refusait de serrer la main de son ministre Jacques Chirac.
L'expression que le SG du parti Juwa, nous a donné ici, n'est pas valable dans un pays où les politiciens se déshabillent, se descendent, envoient des gens pour diffamer autrui. Ca pourrait être valable si ce qui est arrivé à Wadaane Mahamoud et Moustoifa Said Cheik n'était pas arrivé. Comores où les tensions politiques séparent des couples et des familles. Alors Mr le SG du parti Juwa nous convaincra avec autres arguments. Sinon, nous pouvons trouver qui, fait une différence. Que nous les aimions ou pas, que nous adhérions leur manière de faire de la politique ou pas, seuls Mohamed Ali Mamadou et Houmed Msaidie, qui savent faire la différence des choses, leurs attaques politiques ne tournent pas en insultes vinage.
Donc la poignée de mains de Ahmed Hassane El-barwane et Kiki, et les autres... accompagnée de fous-rires comme des jeunes colombes, nous conduisent au doute et nous amènent à dire ceci " Ceux qui ne se connaissent pas se battent en faveur de ceux qui se connaissent".
Au revoir confiance. Par Said Yassine Said Ahmed
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