« Le meeting pour Le oui au référendum à Bambao Mtsanga, c'est le maire de la commune qui fait le mot de bienvenue et son message éta...
« Le meeting pour Le oui au référendum à Bambao Mtsanga, c'est le maire de la commune qui fait le mot de bienvenue et son message était simplement destiné à la femme comorienne.
Le premier magistrat de la localité dit que pour la première fois dans notre pays, un texte fondamental consacre les droits de la femme et de ses enfants comme inaliénables. Il appelle tout le.monde et particulièrement la femme comorienne à voter massivement le OUI le 30 juillet prochain.
Le premier magistrat de la localité dit que pour la première fois dans notre pays, un texte fondamental consacre les droits de la femme et de ses enfants comme inaliénables. Il appelle tout le.monde et particulièrement la femme comorienne à voter massivement le OUI le 30 juillet prochain.
Le notable et oulema de la localité qui parlait au nom de la communauté a de prime abord rendu grâce à Allah pour toutes les réalisations faites par le Président Azali dans son premier mandat, mais aussi et surtout dans ce mandat pour le développement des Comores notamment en matière d'énergie, infrastructures et réformes de l'état. Il appelle lui aussi à voter le OUI.
Puis ce fut le tour d'un jeune de la localité Mr Adinane. Et il s'attaque aux gens qui se disent anjouanais mais qui ne pensent qu'à leur propres intérêts et ambitions. Mais le jeune Adinane dit devant l'assistance qu' il y a des anjouanais qui se mobilisent pour l'intérêt supérieur de la Nation. Il lance un message au gouverneur de l'île qui s'exprime sans ce parachute qui s'impose aux grands hommes d'État. Il lui demande de ne pas deshonorer l'île d'Anjouan avec un discours d'insolence. Ce gouverneur a voulu changer les maires de l'île pour les remplacer avec des [next] gens à lui, en violation des textes.
Notre patience nous qui défendons l'intérêt général repose sur l'éducation que nous avons reçue de nos parents. Les propos du Gouverneur au sujet du référendum sont indécents et dire que le référendum n'aura pas lieu à Anjouan, cela est un mensonge. Nous sommes des anjouanais aussi et nous irons voter pour le OUI au référendum. Ces anjouanais qui disent que la tournante à été supprimé savent que c'est faux. C'est peut-être supprimé pour eux. Merci pour la réduction à 35 ans l'âge minimum pour être candidat au présidentiel. Et merci Mr le Président pour tout l'amour que vous avez pour Bambao Mtsanga et toute cette localité.
L'ancien premier ministre Ibrahim Halid originaire d'Anjouan à pris la parole, ancien candidat aux présidentielles en 2006.
L'ancien premier ministre Ibrahim Halid originaire d'Anjouan à pris la parole, ancien candidat aux présidentielles en 2006.
Un ami étranger me disait un jour que si les comoriens mettent Azali à la tête des Comores, ce n'est pas seulement l'Union des Comores qui en bénéficiera mais tout l'océan indien.
Je sens comorien car je suis mohelien et J'ai enseigné la philo à Ikililou et Fazul. Je suis grand comorien car ma culture politique je l'ai eu dans la grande ile.
Le début du séparatisme en 1999, je me suis fait arrêté. Mais au final je suis rentré dans le séparatisme. Mais on a trouvé une solution sans armes.
Le problème de certains anjouanais tout comme lors de la crise séparatiste, c'est la gestion du pouvoir d'un clan un microcosme politique anjouanais.
Ce livre nous devons le considérer comme l'Arche de Noé pour les Comores. Puis le coordinateur de l'île Nourdine Midiladj à pris la parole pour prendre rendez vous pour faire un majlisse le 30 juillet à 18heures pour une grande fête de l victoire. Et ceux qui ne veulent pas venir au majlisse, je leur demande de ne pas no7s célébrer notre majlisse. Ils disent que nous ne sommes démocrates, mais nous disons qu' ils ne sont pas démocrates non plus puisqu' il leur est impossible de respecter les lois de la République. Le Dr Sounhadj directeur de campagne rappelle que notre hymne national s'appelle le drapeau dans le vent en anjouanais. Le père de l'indépendance est anjouanais. Cela a un sens.
Le programme du Jura disait que nous devons changer une autre république. Nous devions supprimer plus de 7000 postes dans la fonction publique pour.mieux faire respirer l'administration. Mais alors pourquoi aujourd'hui, le Juwa ce parti ou on m'a semble t-il bani refusé aujourd'hui le changement qu' il voulait lui même en pratique? Puis le vice-président Chabhane a pris la parole et a fait un bref rappel de notre Histoire contemporaine. Il a aussi attiré l'attention à [next] la jeunesse comorienne pour qu' elle ne se laisse pas manipuler par oiseaux de mauvais augure. Il a également affirmé leur disposition à sacrifier leurs intérêts personnels au nom de la Grande Idée qu'ils se font de ce pays. Il fustige ceux qui veulent se donner le titre de propriétaire de nos îles.
Il demande enfin de tuer l'esprit ilien et seulement l'esprit de Nation et montrer notre fierté d'être comorien. Et avant de clore son propos, il a lancé un appel à voter massivement le OUI le lundi prochain et il est certain qu'à 18hr, nous feterons la victoire. Le président de la république a pris la parole et a dit que le temps de la Révolution est arrivé. Il a rappelé que le premier révolutionnaire c'est le Prophète Muhammad SAW. Je le dis avec modestie, mais chaque jour a ses actions. Et le moment est venu. Ali Soilih a voulu faire une révolution au moment des 2 blocs et il a été stoppé. Mais nous sommes en plein dans ce temps d'une révolution culturelle. Et cette révolution c'est d'abord de l'éducation, un code de conduite, de nouvelles règles du vivre-ensemble.
Nous devons protéger ces règles qui font le ciment de notre société, notamment les liens de sang, l'islam, l'histoire, la religion et la langue.
Nous devons mettre fin au tribalisme et à l'esprit ilien et c'est pour cela que nous avons consacré l'Etat-Nation dans cette nouvelle Constitution.
Nous étions malades. On nous a prescrit un médicament en 2001. Et nous sommes guéris , mais si nous continuons à prendre le médicament, cela se transformera en poison.
Nous devons lutter contre le séparatisme qui a fait que des comoriens ne pouvaient pas circuler dans leurs îles. Le séparatisme n'est pas sorti par les armes mais par le dialogue franc que nous avons amorcé entre comorien. Et ce dialogue doit continuer pour construire ce pays comme nous l'avons fait dans les assises nationales.
Il y a 2 types d'Anjouanais. Ceux qui ne pensent qu'à leurs propres intérêts et Il y a ceux qui pensent que c'est l'interet général qui prime. Ces anjouanais ont voté feu Said Mohamed Djohar député anjouanais alors qu'il était grand comorien.
La révolution c'est donc cela. Avoir un État qui a des lois et des [next] règles d'une même communauté de destin et une identité comorienne.
Je finis en priant Allah de me donner de la patience et respecter les préceptes de l'islam de tolérance de rite Ahl Sunna de notre pays et ne pas céder à la provocation.
La nuit tombe à Bambao Mtsanga et le millier de personnes continue de suivre religieusement le Président Azali, qui fait l'apologie de la paix et la quiétude de ce pays. Ne tombons pas dans la provocation des oiseaux de mauvais augure qui veulent la crise pour mieux exister. Et c'est la première victoire du OUI.
Soyons tous les gardiens de la paix et de la stabilité de notre pays.
Nous sommes en pleine révolution et le premier acte c'est le référendum. Nous plantons des arbres fruitiers que nous laisserons aux futures générations, a conclu le Président Azali dans ce meeting du OUI au référendum à Bambao Mtsanga Anjouan ce dimanche 21 juillet 2018. »
Communication BS
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