LA CESSATION DES HOSTILITÉS DE L'OPPOSITION A CONNU LE JOUR EN GRANDE COMORES. UNE TRÊVE VUE À L'OEIL NU On savait et on l...
LA CESSATION DES HOSTILITÉS DE L'OPPOSITION A CONNU LE JOUR EN GRANDE COMORES. UNE TRÊVE VUE À L'OEIL NU
On savait et on l'a dit dès le début que cette opposition manque la forme et la force, la preuve en est l'exemple. Lorsqu'une personne morale ou physique fait recours au «hitma» c'est le combat des fainéants. C'est fini, l'opposition est faite passer par dessus la troisième corde et donc, elle n'a plus la place sur le ring.
Certains hommes politiques ont fait 19 ans de combats bousculades, arrestations musclées, incarcérations sans faire de «hitma». Exemples : Moustoifa Said Cheikh, Said Larifou et tant d'autres qui ont montré leur capacité de faire faire face aux différents régimes.
Mais quand on a vu les pleurs et les «hitma» parce que des soi disant leaders politiques sont bousculés par la police, on a compris que la fumée disparaît petit à petit. Une opposition a besoin de structures, de stratégie et une politesse de conduire leurs activités et non des débutants en politique qui ne font qu'insulter le chef de l'Etat du matin au soir.
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Ces débutants pensent qu'insulter le chef de l'Etat est synonyme de force or que non, car insulter les autorités est synonyme d'incompétence, de voyous, manque de politesse et d'orientation...
Par Hilali Moussa
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