Sommes nous à la merci d'une bizarrerie sociétale ? : cette culture de danse devant un cercueil, n'est pas notre Un peu d...
Sommes nous à la merci d'une bizarrerie sociétale ? : cette culture de danse devant un cercueil, n'est pas notre
Un peu d'humour ! aux Comores on dit [ Samdi-LLah, pour les mishago.. ], ça c'est notre culture. Aujourd'hui on dit [ Vendredi-Llah,] pour aller faire le show télévisé devant une mosquée y compris donc, après une prière mortuaire. le théâtre était comme si on regardait quelqu'un danser sur la tombe de l'un des notre. Passons car heureusement cette culture n'est pas notre.
Parait-il, cette culture qui n'est pas notre : c'est la * démocratie * de la rue
- Celle qui veut parler au nom * du peuple * sans avoir mandat.
- Celle qui veut que le peuple s'exprime directement MAIS sans faire recours au référendum. Si logique alors, : à celui qui veut sa démocratie sans élection, quoi d'étonnant pour celui-là en voyant des urnes brûlés ?
Parait-il, cette culture qui n'est pas notre : c'est la *liberté* sans limite
- Celle qu'on peut s'attribuer le rôle et le pouvoir de parler au NOM d'un peuple ( peuple comorien) sans avoir mandat.
Plus bizarre ! certains avancent la spécialité des uns et des autres pour faire taire les non-spécialistes sur des sujets clés qui font partie d'ailleurs de la culture générale. Pourquoi on arrive pas à comprendre que le peuple comorien aussi a donné mandat à ceux qui peuvent parler au nom du peuple ?
En fin, un petit rappel :
En juin 2017, les Comores ont décidé de rompre leurs relations diplomatiques avec l'Iran et le Qatar. Il me semble que la suite des événements donnent raison au président Azali :
D'abord parce que la propagande de la politique qui déstabilise plusieurs pays arabes est assurée par la chaîne Al-Jazeera. Faut il rappeler qu'aujourd'hui c'est cette chaîne Al-Jazeera qui diffuse pratiquement tous les événements soutenus par l'Ayatollah comorien Ahmed Sambi ? ( manifestation à Paris Place Trocadero ...).
Alors oui, encore une fois, cette culture de danse devant un cercueil, n'est pas notre.
Mrimdu