J'adresse un message au président de la République, Azali Assoumani. Personne ne pourrait me taxer d’être un partisan du Juwa ni à Mons...
J'adresse un message au président de la République, Azali Assoumani. Personne ne pourrait me taxer d’être un partisan du Juwa ni à Monsieur Barwane, ils sont loin d’être des bons exemples pour la justice du pays mais ce n'est pas une raison quand ils subissent d'une rare violence injustice de se taire.
Quel crime avéré qui permet à Barwane d’être humilié, emprisonné par votre régime, Monsieur le président de la République? Monsieur le secrétaire général du parti Juwa est un militant d'un parti politique, un citoyen comme les autres donc la constitution lui confère des droits de manifester, d'exprimer ses opinions.
Je suis scandalisé de la brutalité, de l'arrestation dont est victime Monsieur Ahmed Barwane. Son renvoie à un mandat de dépôt expéditif ça ressemble aux fameux procès de Moscou.
Le crime d'ordre public qu'il est accusé aujourd'hui Monsieur Barwane n'est pas justifiée car la manifestation de Moroni vendredi dernier, était pacifique. Certainement, je ne partage pas le fait que le parti Juwa transforme les mosquées et se servent les vendredi à des meetings politiques, mais il n'est nul écrit dans la loi que ces jours, les gens n'ont pas droit de manifester.
Votre pouvoir Monsieur le Président abuse et la politique du ministre de l’intérieur ne va pas dans le bon sens, ressaisissez vous. Les Comores ont besoin de la paix, je suis avec vous Mr le président mais ce n'est pas en emprisonnant injustement vos citoyens que vous parviendrez à cet objectif de paix.
N'oubliez pas que l'un de vos prédécesseurs avait appliqué la même politique de la terreur d'emprisonnement arbitraire et aujourd'hui Dieu lui paie ce qu'il a fait. Monsieur le Président, c'est une leçon que vous devriez vous inspiré. Par Partisan Du Peuple Comorien